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Samedi 4 décembre 6 04 /12 /Déc 18:38

Nous pénétrons dans la salle des fêtes, et il y a déjà pas mal de monde semble-t-il. Nous déposons nos manteaux au vestiaire prévu à cet effet ; une dame derrière un comptoir nous les prend et les accroche à un cintre. Nos trois vêtements sont ainsi ensembles. 
Nous nous dirigeons ensuite vers l’intérieur, où nous retrouvons nos amis qui sont tous essentiellement des footballeurs. Quelques-uns ont déjà des copines, comme mon meilleur ami d’enfance Guillaume qui sort avec une très jolie fille de type Asiatique. Son prénom est Wanda, elle est d’origine Vietnamienne. Nous nous serrons la main entre mecs, et embrassons les filles, dont certaines me sont totalement inconnues. Ce n’est pas à 16, ou 17 ans que l’on pratique les présentations d’usage. Je me vois bien dire :
« Morgan, je te présente Théo, l’amour de ma vie, Théo, voici Morgan un pote d’enfance »
Je me sentirai passablement ridicule. Non… à nos âges, les présentations se font d’elles mêmes, ou autour de la piste de danse, si ce n’est pas sur la piste elle-même. Avec Wanda et Guillaume, nous nous installons à la buvette, et nous commandons des boissons pour lancer la soirée.
Pour Wanda, ce sera un radeau, pour Guillaume, Théo et moi une bière, et pour Gaet un coca.
Pendant de longues minutes, nous parlons de tout et de rien, nous en profitons pour dire bonsoir aux dirigeants et à leurs épouses qui ont organisé cette soirée ; c’est pour les gens du club et leurs amis qu’elle est prévue, et de ce fait il y a plein de personnes inconnues qui se sont greffées parmi nous. En tant que licenciés, nous avons payé 40 euros ; Repas, champagne et cotillons sont dans le prix du menu, plus un petit apéritif en début de repas.
Une fois nos consommations réglées, et c’est moi qui ai offert le premier verre, nous nous trouvons une table de huit. Comme nous sommes déjà cinq, il reste trois places de libre. Nous nous asseyons, et remarquons que Gaétan discute avec une jeune fille de son âge…
Tiens, le petit aurait-il déjà un ticket ?
Après avoir parlé quelques minutes avec cette fille, Gaétan se rapproche de moi et me demande :

« Je peux demander à Charlène de venir s’assoir avec nous, elle n’a pas envie de rester avec ses parents ! »
« Pour moi pas de problèmes… »
Je regarde les autres, en commençant par Wanda, galanterie oblige, et m’adresse à Charlène et Gaétan :
« Oui bien sûr, viens avec nous, il reste trois places »
« Merci… tu es Lucas le frère de Gaétan ? »
« Oui, c’est moi. Voici Wanda, Guillaume, et Théo, mais je crois qu’on se connait, je t’ai déjà vu au collège l’année dernière »
« Oui c’est vrai, je me souviens » me dit-elle tout en me dévisageant, puis elle poursuit
« Vous vous ressemblez  pas trop tout les deux, sauf un peu les yeux , peut-être… »
« Tu sais il vaut mieux que je lui ressemble pas trop, car toutes les filles lui courent après à Lucas… et aussi à la blonde là, tu vois ! » lance alors Gaétan
« Et oh, Gaétan, écrase un peu ptit rigolo » lui répond Théo en riant.

Je vais alors m’asseoir entre Guillaume et Théo, pour discuter un peu tranquillement. Pendant ce temps le DJ enchaîne les morceaux en fonds sonores, mais malgré le volume qui monte, nous pouvons encore nous entendre.
Guillaume, je le connais depuis l’âge de 6 ans. Nous avons commencé le foot tous les deux, et depuis nous avons toujours joué ensemble. Cela en fait des heures et des heures d’entraînement ensemble…
Avec Théo désormais, nous faisons toujours les exercices tous les trois ensembles ; il y a beaucoup de complicité entre nous, et pour moi Guillaume est un garçon extraordinaire. Nous avons grandi côte à côte, tous les mercredi et samedi, de débutants à 16 ans nationaux, en passant par les catégories poussins, benjamins, 13 ans, 15 ans, et cela resserre obligatoirement les liens…
Nous avons travaillé pour progresser, et ainsi, pourquoi pas devenir ce qui est le rêve de beaucoup de gamins, à savoir footballeurs professionnels. Mais comme ce n’est pas le sujet du chapitre, passons et oublions le foot, car avec moi, dans 25 pages Word, ont y est encore…

Guillaume n’a pas été à l’école privé, et nous nous retrouvons uniquement sur le terrain. C’est un garçon soit disant très beau. Non…pas soit disant… il est canon en vérité ! Il est brun de chez brun, d’un noir très foncé, avec une coupe de cheveux façon décoiffée qui part dans tous les sens au-dessus de sa gueule d’ange ; un grand front surmonte ses beaux yeux, et on voit les racines de ses cheveux redressés sur la tête, il a des petites taches de rousseur sur son nez, qui est trop mignon lui aussi. Sa bouche est pulpeuse, et ça lui donne un air « de tombeur » qui lui va si bien. Son seul problème, et encore, c’est qu’il porte un appareil dentaire pour lui redresser quelques dents, et cela depuis deux ans au moins.
Bon… ça lui enlève un peu de son charme naturel quand il sourit, mais ce n’est pas grave, le reste compense. Il est bien fringué lui aussi ce soir, et on sent beaucoup de goût dans le choix de ses vêtements. Comme je vous le dit il a beaucoup de charme, et c’est marrant parce qu’en le regardant assis là à côté de moi, je regrette presque un peu qu’il soit hétéro !!!
Ah ! Théo est là, et il est encore plus beau à mes yeux ; donc finalement, pas de regrets !
Sur le terrain avec Guillaume, nous avons un peu le même jeu, mais en tant que capitaine, mon rôle est plus influent que le sien. Je crois avoir sans doute plus de charisme que lui auprès de mes coéquipiers, et ainsi je suis plus écouté. Lui joue en numéro 10 pour les puristes, moi juste derrière lui en numéro 6. Il est plus offensif, et moi plus défensif. Quoi… c’est bon ! Vous avez bien compris ??? (Fabrice, lui c’est sûr, il a rien compris, lol).
Il est légèrement plus petit que moi, environ 1M75, mais techniquement avec le ballon, il est très bon ; tout naturellement c’est lui qui a la charge de tirer les coups de pieds arrêtés, et il les frappe très bien…

Ce soir la musique est sympa, et cette soirée s’annonce bien… nous sommes tous les six à discuter attendant le début des festivités, et différents groupes se sont constitués faisant comme nous, soit assis à une table, soit debout un verre à la main.
Tout à coup, mon esprit quitte la discussion et je me mets à penser à ce que nous avons décidé de faire Théo et moi ce soir ; je reste songeur me demandant comment cela va bien pouvoir se passer... je le fixe du regard, mais il semble serein et me sourit tout en continuant de parler avec Guillaume.
Je reste intrigué, parce que je ne sais pas où nous allons bien pouvoir trouver un endroit tranquille pour perdre ce que l’on appelle notre pucelage ; et surtout, serons-nous suffisamment amoureux pour réaliser notre promesse de fin d’après-midi ?
Il va falloir en parler avec lui, parce que même si on veut tous les deux le faire ce truc inoubliable, on ne va pas faire ça dans les chiottes quand même !!! Il y a bien la solution de retourner chez moi à minuit, mais à pied c’est impossible, ça nous ferait trop loin, et surtout aller-retour… donc, où aller ?
A cet instant, j’aperçois deux filles qui nous regardent de la porte d’entrée ; il s’agit de Virginie et Sonia.
« Regardez, il y a Virginie et Sonia là-bas, on pourrait leurs demander de venir avec nous, comme ça notre table serait complète ? » dis-je
La réponse se fait unanime, et je me dirige donc vers elles en compagnie de Théo pour les convier à notre table. Vous pensez bien que deux jeunes don Juans comme nous se déplaçant vers deux filles pour les inviter à leur table, il est impossible de subir l’affront d’un refus. C’est ainsi que nous retrouvons à huit à notre table ; 4 filles et 4 garçons !!! Si ce n’est pas fait exprès ça…
Bizarrement et de manière naturelle nous ne nous sommes pas mélangés ; les garçons sont restés entre eux sur une moitié de la table, et les filles entre elles sur l’autre. Je me retrouve entouré de Théo et Guillaume, celui-ci gardant sa princesse à sa gauche, et Gaétan a pris place à coté de Théo, mais il a lui aussi gardé celle qu’il convoite à ses cotés, Charlène.
Si vous avez bien suivi… Théo, il se trouve à ma droite ou à ma gauche… ? lol
Je profite d’un moment de calme pour me pencher vers Théo et lui glisser à l’oreille :

« Au fait, on va aller où tout à l’heure à minuit, pour………… ? »
« Pour faire l’amour ! » me répond-il « Pourquoi tu n’arrives pas à dire le mot le plus beau de la langue française ? Ça te gène tant que ça de dire, « pour faire l’amour » ! »
« Euh, non, c’est pas ça, mais ça répond pas à ma question Théo ? »
« Pourquoi n’irions nous pas chez moi, c’est pas si loin, en prenant par le quartier St -------… »
« Tu crois ? Mais il n’y a personne chez toi ? »
« Non, mes parents sont partis chez mon oncle avec ma sœur et mon petit frère, et ils ne rentrent que demain soir. »
« Génial ça, j’y avais pas pensé ! »
« Quand tu sais pas Luc, tu me demandes… » dit-il en rigolant discrètement
« Si je pouvais, je mettrais bien ma langue dans ta bouche » lui dis-je
« Moi je mettrais bien autre chose dans ta bouche… »
« Ptit cochon, va ! Tu vas voir ce soir, je vais m’en occuper de ta bouche… »
« Lucas, tu as oublié qu’on s’occupait d’autre chose cette nuit ??? »

Le repas a été assez rapide, et à 23H45, nous en étions déjà au dessert. Les discussions étaient animées, allant des derniers résultats de notre équipe de 18 ans en ligue, aux bilans scolaires du premier trimestre des uns et des autres, en passant par nos cadeaux de Noël… enfin… des banalités quoi !
À un moment Théo a l’idée de lancer enfin une conversation un peu moins banale que les autres en posant une question importante à nos yeux :
« Vous en pensez quoi de l’homophobie ? Vous avez vu le jugement sur les mecs qui ont fait preuve d’antisémitisme avec le jeune juif ? En plus le mec il était homo, et ils l’ont battu à mort, c’est incroyable non ? »
Les réponses fusent et sont diverses ; je m’aperçois que le couple Guillaume-Wanda n’est pas homophobes, quant à Gaétan, lui il semble s’en foutre complètement des pd ! En fait, il est beaucoup plus intéressé par le visage de Charlène, que par notre sujet de conversation…

Les gens commencent à se lever de table, et tout le monde se rassemble au milieu de la salle, les 12 coups de minuit approchant. Le président du club, prend le micro, lance deux ou trois banalités à l’assemblée, et entame le décompte final :
« 12 11 10 9 8 7 6 5 4 3 2 1…… BONNE ANNEE 2008… BONHEUR ET SANTE POUR VOUS TOUS, DIRIGEANTS, JOUEURS, PARENTS DE JOUEURS ET AMIS DU CLUB !!! »
Et comme partout le veut la coutume, tout le monde s’embrasse. Je commence par mon petit frère, ne pouvant pas faire autrement, puis Guillaume et les filles, et je termine avec mon Théo. Très discrètement nous nous effleurons les lèvres en passant de la joue gauche à la droite…

« Bonne année Lucas, je t’aime mon amour… faut y aller, je vais prétexter un mal au ventre soudain, ok ? »
« Bonne année à toi aussi mon Théo, je t’aime aussi pour toute la vie… ok d’accord… et on file ! »
« Nous nous absentons, on va chez moi, j’ai mal au ventre depuis ce matin… on va chercher des cachets avec Lucas » dit-il aux autres
« Tu as vraiment mal ? » dit Wanda… « Vous voulez que Guillaume vienne avec vous ? » poursuit-elle
« Non, merci, on fait juste l’aller retour ! »
« Je viens moi si vous voulez… » dit alors Gaétan
« Pas la peine frèro, reste à la table et récupère nous des coupes de champagne, ok ? On arrive… »

Discrètement nous quittons la salle, et après avoir récupéré nos manteaux, nous prenons la direction de la maison de Théo, à environ cinq minutes de marche rapide.
Tout le long du chemin nous ne disons pas un mot. Nous réfléchissons sans doute l’un et l’autre à ce que nous allons faire. L’espace d’un instant, Théo m’a attrapé la main droite, mais je ne sais pas pourquoi, je l’ai relâché. Cela l’a fait sourire…
Quelques instants plus tard, il recommence, mais là, il me la serre un peu plus fort pour me faire comprendre de ne pas la lâcher. Je regarde autour de nous, et il fait sombre ; tout semble mort… il n’y a personne dans les rues à cette heure-ci… mais on entend du bruit et des voix en passant devant les portes des habitations… les gens font donc la fête !
Je garde alors sa main dans la mienne, bouge mes doigts autour des siens… c’est déjà pour moi un geste fort, un geste tendre, et quelques larmes de bonheur sont prêtes à couler. Ces premières larmes de 2008 en annoncent d’autres, mais ça, l’avenir me le démontrera. Nous arrivons devant la maison de Théo, pénétrons à l’intérieur, nous dirigeons directement dans sa chambre, et là…

Nous nous jetons l’un sur l’autre comme des sauvages, nos lèvres s’empalent les unes sur les autres, et immédiatement, nos langues s’enroulent follement… nous sommes furieux de désir, furieux de plaisir !
Nous nous embrassons vigoureusement, puis après quelques minutes ce baiser devient plus langoureux, plus tendre, jusqu’à ce que le désir monte pleinement en nous. Je passe ma main sur sa nuque, dans ses cheveux, sur son dos, j’en profite pour lui enlever son manteau, et commence à déboutonner sa chemise noire. Mes doigts s’y glissent à l’intérieur, passant de son dos à son torse, et de son torse à son dos… je le sens frémir de désir, et son corps est parcouru de frissons lorsque mes doigts frôlent maintenant l’un de ses tétons.
Théo me regarde, puis fait la même chose avec moi ; nos bouches restent soudées l’une à l’autre, il a enlevé ma chemise, l’a jeté au sol, et me caresse de ses deux mains.
Depuis le départ de la salle quelques minutes plus tôt, nous n’avons pas ouvert la bouche jusqu’à ce sauvage, puis voluptueux baiser.
Etait-ce l’angoisse de l’imminence de ce moment tant attendu ? Etait-ce la peur de briser la magie de cet instant en parlant d’autre chose ou d’aborder ce sujet que nous ne connaissons encore que dans nos rêves et fantasmes ? Etait-ce un choix inconscient de les garder fermées jusqu’à notre future étreinte ?
Je lui hôte sa chemise, et nous nous retrouvons tous les deux torses nus… je vous laisse imaginer ces deux ados face à face, et se posant chacun de leur coté les questions fondamentales sur l’acte sexuel qu’ils vont entreprendre pour la première fois de leur vie…
Sans enlever les boutons, Théo fait glisser mon pantalon qui entraine légèrement mon boxer sur la pente descendante. Par réflexe je le retiens, et quant à moi, je lui déboutonne son jean noir et le fait descendre à ses pieds.
Au même moment, nous enjambons nos pantalons encore sur nos chevilles, et nous les ramassons pour les garder pas trop froissés. Nous sommes tous deux en boxer, et après avoir fait voler nos chaussettes, nous nous regardons… plus que ça, nous nous admirons… nous nous dévorons des yeux précisément…
Je l’attrape vers moi, le serre dans mes bras, et je sens que son sexe est déjà en érection. Je lui dis alors :

« Je te souhaite encore une fois une merveilleuse année Théo, et surtout mon ptit amour, je voulais te demander une dernière fois pardon, et te jurer de mon amour aussi profond qu’il puisse m’habiter en cet instant même »
« Bonne année Lucas, tu sais, moi aussi je te promets de te donner tout mon amour et je ferai tout pour te faire oublier ces mauvais moments de cette dernière semaine »
« Théo, tu es prêt ? Tu crois qu’on le fait, j’ai tellement peur… »
« Ecoute Lucas, on se l’ai promis… je sais bien qu’on n’est peut-être pas tout à fait prêt, mais on s’aime, et quoi que nous fassions, quelque soit la façon dont on va le faire, ça restera un souvenir impérissable… et moi, je veux le découvrir avec toi, et maintenant ! »

Je ne répondis rien. J’avais certainement beaucoup plus peur que lui…
Il me prend dans ses bras, m’embrasse à nouveau, puis me couvre de petits bisous le long du torse. Je frémis légèrement… ses doigts, ses mains affolent mon corps, je sens mon sexe se raidir totalement. Sa bouche sur mes tétons me rend fou, je suis une marionnette entre ses mains, je suis fou de plaisir, fou d’envie, et je n’ai qu’une hâte, c’est qu’il me baisse mon boxer et libère enfin ma verge qui commence à me tordre de douleur à chaque passage de ses lèvres sur les miennes et de ses doigts sur mes tétons qui sont tendus à l’extrême.
Je crois qu’il a compris qu’il devait prendre les choses en mains. Il se met à genoux devant moi, le regard interrogateur, comme s’il attendait l’autorisation de pouvoir enlever ce morceau de tissus, ce dernier rempart à mon intimité…
Il approche sa bouche et me mordille le sexe au travers de mon boxer. Mon gland est totalement sorti de son enveloppe protectrice, et j’ai l’impression qu’il me fait un mal de chien… à chaque passages de sa bouche ou de ses mains qui sont encore sur mes deux tétons, j’ai l’impression que mon gland va exploser de bonheur, et c’est vrai que ça me fait un peu mal !!! Mais c’est une douleur très différente des autres et qui se supporte parce qu’elle en annonce une autre ; une douleur qui est un plaisir explosif… celui de l’éjaculation, et j’y pense sans doute trop vite…
Je ferme les yeux, je n’en peux plus… je sens mon sexe enfin libéré de son étau, j’enjambe mon boxer tombé à mes pieds, je garde les yeux fermés, et me sachant maintenant entièrement nu devant mon petit amour, cela augmente encore plus mon excitation. J’ai envie de me masturber, de me toucher le sexe, j’ai envie de sentir Théo me prendre dans sa bouche, et je sens le bout de sa langue sur mon gland frémissant. C’est incroyable, sans qu’il me touche, je suis déjà prêt à éjaculer. Il se redresse alors, et nous sommes toujours debout face à face.
Je lui fais comprendre mon état d’excitation maximum, et pour retarder notre plaisir commun, il se calme dans ses attouchements. Il m’attrape ma main droite, et la dirige sur ses fesses. Je lui baisse alors son boxer…
Sa verge est bien bandée, et je comprends ce qu’il veut. Je descends mes doigts le long de son dos, parcours la raie de ses deux belles petites fesses, et le bascule doucement sur le lit en lui demandant de se mettre sur le ventre. Mes mains parcourent son corps, caressent ses deux globes musclés, et je me rends compte que pour la première fois de ma vie, je fais ce que je veux d’un beau petit cul autre que le mien. Mon gland rempli de sang a atteint un niveau de sensibilité qui fait qu’un simple courant d’air risquerait de me faire éjaculer… je n’ai pas intérêt à le frotter à quoi que ce soit, et j’y fais très attention. Il faut vraiment que j’éteigne cet incendie au plus vite !
Je me mets à genoux à côté de lui, et mes mains parcourent tout son corps, de la plante de ses pieds, en passant par les mollets, derrière les genoux, et en remontant sur ces deux superbes cuisses que mes lèvres couvrent de bisous. Que c’est beau… je suis aux anges. Ma main repasse sur la raie de son petit derrière, l’autre essayant tant bien que mal de caresser en même temps ses deux fesses musclés. Je remonte le long de sa colonne vertébrale, je scrute son dos, j’admire ses muscles dorsaux, et mes mains s’affolent en parcourant son échine, son cou et ses cheveux. Je le vois se cambrer légèrement, et il me fait ainsi comprendre que je dois commencer à masser son petit trou.
Je m’approche, je m’accroupis au dessus de lui à hauteur de ses cuisses, je me penche en avant, et mes lèves pour la première fois sont en contact avec des fesses. Je suis surpris moi-même par la douceur de sa peau, et j’y laisse glisser mes lèvres un peu partout ; il tressailli, se cambre à nouveau, et me dit « vas-y Lucas, prend moi, avec tes doigts d’abord… »
Ma main s’approche de son anus, je suis visiblement curieux de voir ce que je vais entreprendre de faire. Ma main gauche écarte ses deux fesses, et pour la première fois, je vois son anus à 30 centimètres de mes yeux. Je pense que ma curiosité l’emporte alors sur tout le reste, j’introduis doucement un doigt entre ses fesses, puis je plonge dans son anus. Quelle n’est pas ma surprise de sentir une certaine humidité, comme si un lubrifiant y avait été déposé au préalable. Mon doigt ne trouve aucune difficulté à s’y introduire. J’insiste encore une fois.
Essayez d’imaginer un ado de 16 ans qui découvre toutes ces choses à la fois !!! Je retire ce doigt, et en enfonce maintenant deux en même temps. Là c’est un peu plus difficile, et j’essaie d’imaginer le diamètre de mon sexe en le comparant à mes deux doigts. Je les tourne dans son anus, et fais quelques va et vient ; je vois alors que Théo se cambre régulièrement, il accompagne le mouvement de mes doigts, et de temps en temps, il pousse des petits râles trop excitants.
Mon autre main n’est pas inactive, et mes caresses ne laissent pas Théo insensible ; son excitation semble elle aussi très grande…
Il se retourne, prend un préservatif, découpe l’emballage, le présente sur mon gland, et le déroule lentement bien à fond. J’avais déjà mis des préservatifs, mais c’était juste comme ça pour essayer, et pour voir l’effet que ça faisait.
Mon gland est désormais devenu un peu moins sensible semble-t-il. Le visage de Théo est un peu rougi par la chaleur. Il me regarde, légèrement gêné, et me dit :

« Comment je me mets ? »
« Quoi comment tu te mets ? J’en sais rien, moi, comme tu veux… »
« On n’a pas de lubrifiant, comment on fait ? »
« Tu crois en avoir besoin, t’es tout trempé à l’intérieur »
« A mon avis si, il faut quelques chose… »

C’est un dialogue de fou à deux minutes de faire une chose inoubliable, et je me mets à rigoler, imaginant la scène… je le vois partir vers la salle de bain où il récupère une savonnette, la mouille au maximum, et revient. Son visage est radieux, il est magnifique. Il me passe la savonnette sur ma verge, étale rapidement le savon, et prend position.
Il se met à genoux, écarte ses cuisses au maximum sur les cotés, et se penche en avant en se cambrant le plus possible, pour me faciliter la pénétration.
Je suis à genoux derrière lui et m’approche doucement, mon pénis tendu à l’extrême. Le grand moment est enfin arrivé…
Mes jambes flageolent, je suis nerveux, mais en même temps très excité ; j’ai finalement très envie d’enfoncer définitivement ma petite verge dans ce trou, là devant mes yeux. Je mouille son petit trou avec un peu de salive, tout en y enfonçant le bout de mes doigts. Puis c’est au tour de mon sexe raidi et lubrifié de venir se placer devant l’entrée de son intimité, et de le pommader doucement. Soudain j’y suis, mon sexe pénètre son anus, et je suis étonné de le voir disparaitre comme cela ; je sens les parois à l’intérieur se dilater sur mon passage, jusqu’au resserrement tant redouté. On m’avait averti qu’il ne faut pas s’arrêter, et à cet instant j’ai l’impression de ne pas pouvoir aller plus profond, mais je pousse une fois encore, et je sens la voie se libérer à nouveau. Théo pousse un râle plus prononcé, et me demande d’aller encore plus à fond. Je l’écoute, et une fois au maximum de ma taille, j’ai l’impression qu’on ne peut pas aller plus loin.
Une pensée me vient, et qui a le mérite de me détendre ; comment avec un sexe bien plus long que le mien, peut-on tout enfiler….
Je commence à faire des vas et viens, et à peine deux minutes après, mon gland me refait mal, je me sens écorché vif. Théo grogne bruyamment, et je ne sais s’il en rajoute ou pas ; peut-être mais je n’ose pas lui demander de peur d’en rire, et je trouve la situation relativement comique. Je prends beaucoup, beaucoup de plaisir, c’est la première fois, mais c’est un pied énorme. J’aimerais que cela ne se termine jamais, mais il y a des impératifs physiologiques que je ne maitrise pas trop. Mon sexe, c’est lui qui commande à cet instant-là !
Je n’en peux plus, et Théo bouge tellement que je n’ai même plus à faire d’effort. C’est lui qui en rythme avance et recule ses fesses en s’empalant le long de mon sexe bouillant, et je sens déjà que je suis au bord de l’implosion.
J’essaie de le dire à Théo, mais il ne m’entend pas… d’ailleurs peut-être les sons ne sortent-ils plus de ma bouche… mon cœur bat à une vitesse folle, et je sens que je ne vais pas tenir une minute de plus…
« Putain Théo je vais éjaculer, putain, putain … Théo… Théo… »
Théo se dégage alors prestement et j’aperçois une dernière fois son anus totalement dilaté ; je n’en reviens pas… je garde en moi cette image, que je ne veux à jamais oublier…

Il s’assied devant moi, écarte les jambes, retire mon préservatif, et me prend en bouche.
Pas besoin de chronomètre, ça a duré 43 secondes… sa langue me fait trop de mal ou de bien… je ne sais plus. J’essaie d’extraire mon sexe du pouvoir de sa langue, mais il me le retient avec ses dents, et avec cette pression supplémentaire, je sens soudain une onde de choc me parcourir. A cet instant toute ma semence est expulsée de mon gland en fusion pour aller remplir le fond de sa gorge en une multitude de spasmes, de jets, et de tout ce que vous voulez…
Vous savez la masturbation, c’est cool, pas de problèmes, mais faire l’amour comme cela, c’est « masturbation x 100 »… j’ai rempli toute sa gorge de mon jus, j’ai regardé son visage prendre une expression de surprise, puis il a tout avaler. Je sais aujourd’hui ce que veut dire « jouir » et c’est fantastique, c’est trop puissant, et à recommencer au plus vite ! Il a tout avalé ce fou, qu’est ce qui lui a pris ?

Je reprends mon souffle et mes esprits, Théo est sur le dos, et il récupère ; les yeux au plafond il ne sait plus très bien ce qui nous arrive. Je suis plus prompt que lui, je m’approche, et de suite le caresse, lui prend son sexe entre mes doigts, et entame une petite masturbation.
Rapidement sa verge se redresse fièrement, et je la prends alors dans ma bouche et suce avec efficacité ce tuyau de xx centimètres (attention, j’ai pas dit 20, lol). Très vite son érection atteint à nouveau son paroxysme, et il semble enfin prêt. Je me place à côté de lui et il comprend que c’est à son tour de s’occuper de mon petit trou, mais j’ai très peur.
Mon corps est raide, et je ne sais pas si un phénomène de honte ne me parcourt pas la tête durant quelques secondes. Il utilise la même méthode que moi ; après maintes caresses qui me détendent, ainsi que quelques bisous au bon endroit, je sens un doigt me transpercer. Putain, ça m’a fait mal déjà ! Oula, je ne sais pas à quoi je dois m’attendre…
Il essaie de passer deux doigts, et je sens mon anus se braquer de lui-même contre cette intrusion. Peut-être que ça marche dans un sens et pas dans l’autre pour moi…
Je souffle quand je sens ses doigts sortir, et un soulagement me parcourt l’échine, lol. Vous savez, c’est comme quand le dentiste vous passe la roulette ; quand ça s’arrête, ça fait du bien !
Il insiste plusieurs fois, et mon anus se dilate un peu, mais pas suffisamment.

« Lucas, si tu te détends pas, je ne vais pas y arriver, fais comme moi, pense à autre chose… »
« T’es marrant toi, un doigt ça me fait mal, deux ça coince, alors ton truc énorme, ça va jamais passer, putain, Théo… »
« Attends, je vais te mettre de la savonnette, mais ce qui est bizarre, tu mouilles pas comme moi »
« Ouais, vas-y, mais si on avait du lubrifiant, on serait moins con quand même… »

Il me masse le fion avec la savonnette et m’en fout un peu partout, je sens ses doigts passer et repasser autour et à l’intérieur de mon trou, et là je défie quiconque de pudique de rester dans la position où je suis. Il met un préservatif, je le suce un peu, beurk… quelle erreur ! Je lui mets de la savonnette sur le sexe, le masse avec les doigts, et je me mets alors sur le dos.
Il comprend où je veux en venir ! Il s’approche de moi sur les genoux, je monte mes jambes et je les pose sur ses épaules en les écartant au maximum. Non pas pour écarter les fesses et lui libérer le passage, mais tout simplement pour ne pas avoir mal moi-même ! Je me contracte, j’ai trop peur d’avoir mal, et je sens que je vais avoir mal.
Il me pénètre, s’enfonce en moi, passe l’anus, et pousse. Je crie une première fois, j’ai l’impression qu’on m’arrache le trou du cul. Je crois qu’il est au fond, je regarde son sexe… non, ce n’est pas possible, il mesure combien ? Tout à coup, je sens qu’il pousse une nouvelle fois ; visuellement, je vois son tuyau s’enfoncer dans ma gaine, et je ressens une énorme douleur. Je crois que je vais me déchirer, j’ai peur, j’ai trop peur, et j’ai trop mal.
J’ai mal et je ne souhaite qu’une chose, c’est qu’il se retire vite ! Je lui dis 4, 6, 10 fois…
« C’est bon Théo, putain, sort, j’ai mal, trop mal… »
« Ca y est Lucas, je suis rentré, ça va aller, fais-moi confiance… »
Je ne sais pas ce qui se passe ; j’ai les yeux fermés, je sens maintenant que Théo fait des vas et viens, lentement, il me caresse le sexe, et me demande de me masturber. Je l’écoute, je me prends en main, et je commence à en oublier la douleur. A chaque avancée de son bassin je sens son pubis écraser mes testicules, comme si j’avais besoin d’une douleur supplémentaire !
Pendant ce temps, Théo prend son pied, il a un visage satisfait, il rentre, il sort, il se balade dans mon petit cul, comme dans un champ de blés… (lol)
Petit à petit j’ai de moins en moins mal, je me détends un peu, et je commence à ressentir les bienfaits des ses vas et viens dans mes entrailles. Je gémis un peu quand il touche le fond, et qu’il frôle ma prostate, et je prend finalement du plaisir… et encore un peu plus voyant Théo me regarder de partout. Quand je réalise la position dans laquelle je me trouve, je recommence alors à mon tour à ressentir de l’excitation.
Au bout d’un temps qui me semble très très long, environ 3 heures… non, je rigole… environ 15 minutes, je sens que Théo se retire ; je suis soulagé ! Ouf, mon trou est libéré, vive la libération !!!
Théo enlève alors son préservatif, m’introduit son pénis dans la bouche, sale brute, et je le suce deux minutes pour enfin recevoir une bonne quantité de son sperme tiède dans la gorge.
Tout comme lui, je n’hésite pas un instant et j’avale tout. J’ai déjà avalé mon sperme, donc je ne suis pas trop dégoûté… au contraire même ! Je ne sens pas trop de différence de goût entre lui et moi, ou tout du moins je n’en suis pas véritablement conscient.
En tout cas, j’ai au moins senti quatre jets de suite inonder ma bouche. Théo est affalé sur moi, et nous venons chacun notre tour de jouir véritablement pour la première fois ! Car le cri qu’il a poussé lors de l’éjaculation, ce n’était pas un cri ordinaire.
On s’embrasse encore puis je regarde ma montre ; il est déjà deux heures…

« Putain Théo, c’est trop bon, si tu savais. J’en reviens pas, on est plus puceau, et on a fait l’amour tout les deux, c’est merveilleux… putain comme je t’aime ! »
« Oui Lucas » dit-il encore essoufflé avant de reprendre « on a fait l’amour, oui ! Et on a joui, toi et moi… quel pied, ouah ! J’en peux plus, je suis mort… »
« Si tu avais une meilleure condition physique, tu serais moins essoufflé… »
« Et toi, si tu te retenais un peu plus, t’éjaculerais pas si vite… » me répond-il taquin
On s’attrape tout les deux, et on se bagarre alors gentiment…

« Je vais te faire mal encore, t’as déjà un œil tout noir, alors faut que je fasse attention Lucas »
« Ouai, tu abandonnes alors, allez on se douche rapidement, et on y retourne ok ? »
« Ok, allez on fonce ! »

A deux heures cinquante, nous étions de retour dans la salle. La fête bat son plein et tout le monde danse. On pénètre dans le noir, et on se dirige directement sur la piste pour se défouler un peu. Je n’arrête pas de repenser à ce que je viens de vivre, je revois Théo nu devant moi, je revois son anus dilaté, je ressens cette quantité de sperme avalée, mais je suis heureux, je suis heureux, je suis heureux…
La fin soirée se passe divinement bien, et nous dansons tous ensemble, le plus souvent je suis tout près de Théo ; je l’admire, et je le désire encore !

A six heures, nous rentrons, et nous couchons tous les deux en boxer… bizarre, moi qui dors souvent nu… la fatigue sûrement…
Gaétan lui est dans sa chambre, il s’est éclaté toute la nuit à faire des bisous avec Charlène, et nous, toujours rien avec les filles ; demain, enfin, tout à l’heure, je sens que Gaét n’a pas fini de nous chambrer Théo et moi sur ce sujet-là…
Quelle honte, nous sommes toujours puceaux… mais avec les filles seulement !!!

Par Fred - Publié dans : Récits
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Samedi 4 décembre 6 04 /12 /Déc 17:54

Voila, je vous présente mon premier scénario porno. Je rappelle que je suis étudiant en cinéma et que je recherche actuellement deux acteurs (entre 18 et 25 ans) pour tourner ce court métrage. Le tournage durerait 2 ou 3 jours et l'acteur serait rémunéré. Si vous êtes interessé, contactez moi : fred.serty@live.fr

J'ai déja un acteur qui joue le role de Mateo (Edouard, voir photo); donc il me manque deux acteurs.

Voila le scénario (dites moi ce que vous en pensez !)

Scène 1 : Une soirée entre potes (durée indicative 15min)

Personnages : Mateo, Romain et Ben.

[Il fait nuit, il est près de 23H.La scène se passe chez Mateo qui a invité deux de ses amis à regarder un match de foot. Le salon de Mateo est constitué d'un canapé, d'une télévision, d'un bureau et d'un ordinateur. Au début de la scène Mateo, Romain et Ben sont assis dans le canapé, regardant la fin du match.]

Plan Américain bustes.

Plan moyen sur le canapé cadré sur les 3 personnages.

MATEO (exclamation): Wahou ! Quel beau match ! Hein les mecs ?

BEN: Ouais c'était cool, on a bien fait de venir.

Plan Général. Mateo se lève et se dirige vers l'ordinateur. Il ouvre une fenêtre.

MATEO (l'air enjoué) : Ah ! Téléchargement terminé.

ROMAIN : Qu'est ce que t'as téléchargé ?

MATEO (l'air légèrement gêné) : Euh … un film porno.

BEN : Ah ouais. Bah vas y, montre !

Ben et Romain prennent une chaise et s'assoient. Mateo lance le film.

Plan face sur les trois bustes.

Les trois semblent captivés, il peut y avoir des mordillements de lèvres. On ne voit pas l'écran mais on entend le son.

Plan contre-face, découverte de l'écran, il s'agit d'un film gay.

Retour Plan face

ROMAIN : Je suis pourtant pas gay mais ça m'excite quand même, bizarre !

Plan sur pantalons. Travelling remontant vers visage. Zoom sur visage de Ben.Il se mordille les lèvres.

Plan face sur les 3.

Plan sur l'écran.

Plan face sur les 3.

Ben commence à se caresser et glisse discrètement la main dans son calecon. Il fait des mouvements dans son caleçon. Les 2 autres l'imite.

Plan sur l'écran.

Plan face sur les 3.

BEN (regarde Mateo): Putain, j'ai trop envie de me branler maintenant.

MATEO : Ouai moi aussi.

Mateo regarde d'abord Romain puis Ben qui lui fait un grand sourire. Mateo enlève son jean. On le voit un instant en boxer. Les autres le regardent. Mateo décide enfin d'enlever son boxer.

BEN : Eh t'es méga bien gaulé !

Mateo commence à se mastruber.

Plan écran.

Retour Plan normal

Zoom Ben. Ben et Romain se mettent nu et se masturbent chacun de leur coté.

Plan Face.

Ben et Mateo se jette un coup d'oeil. Mateo arrête de se masturber. Ben le branle alors.

Plan écran.

Retour plan face.

MATEO : Vas-y suce moi s'te plait.

Ben s'éxecute. Romain branle Ben en même temps puis le suce aussi.

Zoom sur sur bouche à Romain.

Zoom sur bouche à Ben.

Plan Face

Plan écran

Plan Canapé. Ben est allongé sur le canapé, Mateo le doigte et Romain se fait sucer par Ben.

Sodomie, Mateo actif et Ben passif. Romain se fait sucer par les 2.

Zoom sur sexe de Romain.

Zoom sur Sodomie

Plan Canapé

Plan demi pied Américain sur Romain.

Romain éjacule sur le torse de Ben. (Zoom sur torse au moment). Puis Mateo lui aussi, un temps après, éjacule sur le torse de Ben. Enfin Romain masturbe Ben jusqu'à l'orgasme et éjaculation. (Zoom progressif sur torse de Ben avec les 3 éjac)

Par Fred - Publié dans : Production personelle
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Dimanche 28 novembre 7 28 /11 /Nov 20:37

Voila mon premier shoot avec Edouard ! Dites moi ce que vous en pensez !

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Par Fred - Publié dans : Production personelle
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Dimanche 28 novembre 7 28 /11 /Nov 20:01

J’ai toujours rêvé de me faire violer par une bande de brutes sur le carrelage d’un WC public.

Ce jour là, j’étais à l’étranger, j’avais besoin de pisser et j’étais curieux de voir de quoi les toilettes publiques avaient l’air dans cette ville. Mais j’avais aussi des idées derrière la tête, parce que j’étais en manque de sexe dans ce pays dont je ne parle pas la langue. Les toilettes étaient assez vastes, toutes carrelées de blanc du sol aux murs, avec des box de chiottes fermés à mi-hauteur et une rangée de pissoirs assez sales.

J’ai soulagé ma vessie, et comme j’étais seul, j’ai commencé à masser ma queue en pensant à mon fantasme de viol, et je me suis mis à bander comme un âne rien que d’y penser. J’ai commencé à me branler plus énergiquement.

C’est à ce moment que deux jeunes loubars balèzes sont entrés dans les toilettes. Ils ont choisi de venir uriner chacun de son côté, à ma droite et à ma gauche. Ca m’a excité grave de savoir que ces deux jeunes mecs me lorgnaient du coin de l’œil en train de me secouer le nœud pendant qu’ils pissaient. J’ai jeté un coup d’œil à leur bite et j’ai vu qu’ils commençaient à bander en finissant de pisser.

Ils se sont lancé un regard complice, et biroute dressée en main, se sont légèrement reculés pour se retrouver derrière moi. Je leur ai jeté un regard affolé, j’allais pas leur dire que je voulais me faire violer! Ils m’ont tiré en arrière, l’un d’eux, un grand blond m’a ceinturé, et m’a levé mon t-shirt jusqu’aux aisselles pendant que l’autre, un noiraud très poilu, défaisait la boucle de ma ceinture et me baissait brutalement le jeans et le boxer sur les chevilles. Je me suis retrouvé à poil dans ce WC, la bite en érection, à la merci des deux lascars qui s’échangeaient dans cette langue que je ne comprenais pas des commentaires dont je sentais bien qu’ils parlaient du sort qu’ils me réservaient.

Le mec de derrière m’a plaqué une main sur les fesses, de l’autre passée entre mes cuisses, il a enserré ma bite à pleine main et l’a tirée vers lui en la pliant à sa base. Celui qui était devant moi s’est assis au sol jambes écartées en m’attirant vers lui, et comme j’avais les chevilles entravées par mon froc, je suis tombé à genoux et sur les coudes, le visage plongé dans les poils de son pubis. Les relents acres de sa bite me sont montés au nez et ont redoublé mon érection. Il a forcé son gland entre mes lèvres et poussé sa grosse biroute bien dure au fonds de ma gorge. J’aimais trop être à moitié étouffé par ce membre qui pulsait dans ma bouche écartelée, mais j’ai poussé un râle indigné comme si j’étais pas consentant. Puis j’ai commencé à sucer cette queue au gout acide, tout enrobée de mon abondante salive.

Le noiraud s’est agenouillé derrière moi, m’écartant les cuisses de ses genoux, et set venu frotter sa bite contre la mienne tordue en arrière entre mes jambes. Il m’a écarté les fesses et j’ai senti qu’il crachait une série de glaires bien gras dans la raie de mon cul, dont il a lubrifié mon trou de balle de son doigt mouillé. J’y croyait pas, je vivais mon fantasme mieux que dans mes rêves! J’étais en train de me faire violer par deux brutes en rût sur le carrelage froid des WC. Le gars de devant me laissait pas respirer, me pressant à deux mains la tête pour que je le suce à la cadence frénétique qu’il m’imposait.

Mais mon attention était toute entière centrée sur mon trou du cul béant, en attente fébrile de l’estocade de l’autre gros pédé. Pour donner le change, je râlait comme un porc en secouant la tête pour signifier que je ne voulais pas me faire enculer, alors que je n’en pouvais plus d’être excité rien qu’à l’idée de ce manche hypertrophié qui allait me forcer le derche.

Ma résistance simulée a eu l’air d’exciter le mec, qui a commencé à m’injurier dans sa langue, et qui m’a enculé sans ménagement, poussant d’un coup son gland jusqu’au fond de mon fion à le faire péter tellement sa bite était énorme. C’était tellement bon, cette sensation d’une matraque qui rentre dans son fourreau, cette impression de plénitude, ce mal qui fais tant de bien! J’ai beuglé en sourdine, la bouche pleine de la pine de l’autre loubard. L’enculeur y est allé à grands coups violents, entrant et sortant de mon cul avec frénésie. J’ai senti que ma bite coulait son précum sur les couilles du mec contre lesquelles elle venait se frotter à chaque enculage, toujours broyée dans sa main crispée.

C’est à ce moment là que je me suis rendu compte que d’autres mecs étaient rentrés dans les toilettes, et passé leur surprise du spectacle qu’ils découvraient, avaient sorti leur paquet et se branlaient en me regardant me faire baiser. C’étaient trois jeunes beurs d’une trentaine d’années tous rudement bien montés.

Mais mon esprit est vite revenu se fixer sur ce que je vivais. Le blond m’a pris par les cheveux et tiré vers le haut de sa poitrine, me sevrant de sa bite pourtant si bonne, que je sentis glisser le long de mon corps, se frotter contre ma bite et mes couilles, et chercher à me pénétrer en même temps que celle du noiraud qui me ramonait avec violence. J’ai poussé un cri de réelle frayeur, mon derche n’allait pas pouvoir accueillir ces deux grosses bites sans être déchiré! Mais le blond a forcé son chemin, distendant au maximum les parois de mon anus et s’est mis à me limer à grands coups de reins ptt8bg7.jpg
de concert avec le noiraud collé à mon dos courbé. J’étais maintenant affalé sur le ventre du blond, ma pine et mes couilles plaquées contre son ventre transpirant.

Un de trois beurs s’est mis à poil du bas et est venu s’agenouiller au dessus de la tête du blond, lui offrant ses couilles à sucer et à moi sa bite à pomper. J’ai happé goulument cette queue basanée et suante qui suintait grave. Elle avait un goût un peu amer qui m’a mis les sens en folie.

Mes deux enculeurs ont pas tardé à décharger leur foutre à plein jet au fond de mon cul, en telle quantité qu’une bonne partie est ressortie et m’a coulé sur les couilles. Dans le même temps, le jeune beur m’a craché sa purée dans la gorge, en rasades puissantes que j’ai avalées avec gourmandise. C’était à une époque ou le Sida n’était heureusement pas encore apparu, aujourd’hui plus question de prendre comme ça directement du jus de couilles dans le cul sans protection.

Ils se sont tous retirés, mais ma fête n’était pas finie, l’orgie ne faisait que de commencer. Les deux autres les ont remplacé tour à tour dans mon derche, me bourrant sans peine avec tout le sperme qui le lubrifiait. Mon cul n’était plus qu’un garage à bites et n’arrivait plus à contenir tout le foutre qui en débordait lorsqu’ils lâchaient leur dose de jus épais.

Il m’ont ensuite fait lécher toutes leurs bites pour les nettoyer et j’ai dû les leur ranger dans leur slip. Les gars se sont rhabillés, m’ont jeté un regard narquois, et sont partis en parlant tous à la fois dans cette langue que je ne comprenais pas. Je me suis relevé la bouche pâteuse de foutre, le corps couvert de sperme séché que je voulais garder sur moi, et j’ai baissé mon t-shirt sans me laver et remonté mon boxer. Mais une fois rhabillé, une grande quantité de sperme a encore coulé de mon trou du cul et atterri dans mon slip qui s’était retrouvé gluant et humide

Par Fred - Publié dans : Récits
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Dimanche 28 novembre 7 28 /11 /Nov 20:00

Y faut que je te raconte mes débuts de sac à foutre. Ca a commencé quand j'avais 19 ans. J'étais timide, encore vierge du cul, et je suis entré dans un ciné porno. Je savais que la pénombre me conviendrait si je devais faire une rencontre. Il devait y avoir une vingtaine de personnes dans la salle. Je me suis assis dans une des rangées latérales du fond. Sur l'écran, deux gars enculaient un mec qui râlait, leurs deux bites qui lui déchiraient son trou du cul. Ils étaient super bien montés. J'ai défait ma braguette et commencé à me caresser la queue, la main dans le slip.

Au bout d'un moment, un jeune mec s’est affalé dans le fauteuil à côté de moi. Il avait l’air de sortir du bureau, costard cravate, genre jeune loup carnassier. Sans me regarder, il a dézipé son froc. J’ai vu les poils de son pubis surgir, c’était clair qu’il portait pas de slip. Il a sorti sa queue en érection monumentale et a commencé à se branler. Quelques instants après, il m'a dit sur un ton assez autoritaire: «descend ton froc!». On ne m'avait jamais parlé comme ça mais j’ai aimé, et j’ai senti ma queue durcir un peu plus encore. J'ai donc descendu mon jean et me suis retrouvé en slip dans cette salle de cinéma avec des mecs qui me regardaient de leur place. Je dois dire que ma biroute est de belle taille et faisait une protubérance assez suggestive à mon slip. Il m'a lentement caressé la queue à travers le tissu, puis il l'a sortie de son écrin et a commencé à me la masser tout en se masturbant. Je suis un peu exhib, mais avec tous ce mecs autour, j’étais pas à l’aise. J’ai été soulagé quand le gars m'a dit: «remballe ton matos, on va aller chez moi». Ca m’a excité un max de penser à ce qui pourrait des passer chez lui, et je l’ai suivi sans hésitation. En chemin, il ne m’a pas parlé, et pas répondu à mes questions, mais il dégageait une autorité naturelle et je me suis senti comme en son pouvoir. Il habitait pas loin.

En arrivant chez lui, il m'a montré la salle de bain, m’a donné une serviette de bain et m’a dit de prendre une douche pendant qu’il donnait quelques coups de fil. Je me suis prélassé sous la douche, et lavé le cul bien à fond. J’avais bien l’intention qu’il me le déflore ce soir là. Quand je suis sorti de la salle de bain, avec ma serviette autour des reins, il était vautré sur le divan de son salon devant la télé, avec juste un slip en latex noir qui moulait ses attributs. Il bandait à mort. J’ai pu apprécier son torse musclé et ses abdos sans graisse. Un beau spécimen de jeune cadre sportif! Il avait mis une vidéo SM homo. Je me suis étendu près de lui en laissant ma serviette découvrir ma queue dressée. Il a glissé sa main le long de ma cuisse, et m’a caressé les couilles.

Soudain la sonnette a retenti. J’ai bondi du sofa et me suis emballé séré dans ma serviette. Il s’est levé et m'a dit «t’inquiète pas, j'ai juste invité quelques copains pour qu’on s’amuse un peu, on va bien s'occuper de toi». Il a été ouvrir à quatre gars dans son genre, dont un grand black super balèze, qui m’ont déshabillé des yeux d’un air lubrique. J’avais pas prévu un truc comme ça, à plusieurs. Pris de panique, je me suis dirigé vers la salle de bain ou j’avais laissé mes habits, mais un des gars m’a barré le passage avec un sourire en me susurrant : «on veut pas te faire de mal bébé, mais Michel nous a dit que t’était bien monté et que t’avais l’air chaud du cul, alors on veut aussi en profiter et te faire tester nos pines. Viens te mettre à l’aise sur le canapé». Je me suis laissé faire, et c'est à partir de ce moment là que j'ai été un jouet sexuel pour ces cinq vicieux.

 Ils se sont déshabillé rapidement. Quatre portaient un slip de cuir et le black un jock rouge qui n’arrivait pas a contenir sa grosse bite turgescente. Un des mec m’a dit qu’ils allaient avant tout me raser. Je me suis couché sur la table de la salle à manger, et j’ai perdu tous mes poils du pubis, de la queue et des couilles. Mais cela ne leur suffisait pas. Ils m'ont retourné sur le ventre à même la table, les jambes pendantes qu’ils m'ont écartées au maximum pour bien ouvrir mes fesses et dégager mon cul, puis ils me l’ont rasé intégral. J’ai bien aimé le contact de la lame autour de mon trou du cul, avec cette crainte de me faire blesser. Je bandais comme un taureau, la bite comprimée contre le bois de la table. Mais j’en avait pas fini avec les préparatifs. Ils ont voulu me faire un lavement avec une poire et m’ont vidé les intestins.

Sans crier gare, ils m’ont ensuite attaché les mains et les pieds aux quatre pieds de la table avec des rubans de soie. J’étais à leur complète merci, presque écartelé, le cul grand ouvert, la bite et les couilles dépassant du bord de la table contre lequel elles étaient pressées. Avoir le cul ainsi exposé à cinq mecs en rut m’excitait beaucoup, j’avais les burnes comme du béton.

Ils ont voulu tester l'élasticité et l'ouverture de mon trou de cul encore vierge. Un tube de lubrifiant Eros a surgit et un des mec m’en a enduit le fion. C’était un peu pimenté, et ça m’a mis le cul en feu. Un index fouilleur m’a sondé, m’en a graissé l’intérieur aussi profond qu’il pouvait et en est ressorti en un mouvement vissé.

Puis Michel est réapparu dans mon champ de vision avec trois godes de tailles différentes dont un énorme qui faisait au moins 7 cm de diamètre. Ils me les ont enfoncé l’un après l’autre, en douceur et profondeur. Quand le plus gros a commencé à forcer mon cul, j'ai gueulé comme un âne. J’avais l’impression que mon derche allait se déchirer. Mais je me suis relâché, il s’est lentement distendu, et j’ai ressenti une grande plénitude. J’ai pas pu m’empêcher de crier : «bordel à queue, j’aime trop». L'un des gars m'a alors dit: «t’as maintenant le cul d'une vrai salope. Tu va pouvoir te le faire exploser et te faire enculer sans crainte, et tu vas en redemander».

Ils sont venus du coté ou j’avais ma tête et ils ont sorti leurs queues qu’ils ont posées sur la table devant mes yeux affolés. Quels braquemarts! Celle du black devait mesurer plus de 20 cm mais elle était surtout très épaisse. Le grand noir m'a dit: «pas de souci, mon bébé, avec le trou béant que tu as à présent, ma queue va renter comme dans du beurre, tu vas jouir grave, mais y faut d’abord que tu me suce». Et il m’a poussé sa grosse biroute entre les lèvres. J’ai pris son odeur forte et musquée en plein nez, et ça a décuplé mon excitation. Je l’ai sucé goulument, avant que les autres viennent se faire pomper par ma bouche avide qui les aspiraient à tour de rôle et même par deux à la fois. Je n'avais jamais sucé autant de bites, ni senti si fort l’odeur âcre qui se dégageait de leur poils pubiens et de leur bites pas lavées. Elles devenaient énormes et bien raides dans ma bouche et leurs couilles ballottaient sur mon menton. J’étais en transe, les sens affolés.

Pendant que je suçais comme un malade, ma séance d'enculage a commencé. C'était encore l'époque où le sida n'existait pas, un premier gland nu à forcé son chemin dans ma rondelle vierge et s’est enfoncé millimètre par millimètre dans mon fion tendu vers lui. J’attendais cette sensation depuis si longtemps! Ca m’a tellement excité que j’ai largué une giclée de foutre qui a coulé en bas de la table. Les queues se sont succédées dans mon trou. J'étais devenu un véritable garage à bites, un trou ouvert à tous. Les pédés m'ont enculé à tour de rôle, tous plus puissants les uns que les autres. Seul le black attendait son tour en s’attardant à se faire sucer, ce qui n’était pas pour me déplaire. Il m’a dit qu’il voulait que mon derche soit bien ouvert et lubrifié par le sperme de tous ses copains avant de me prendre. Les quatre bites se sont vidées dans mon cul et je crois même qu’unmec y est venu deux fois. Le sperme débordait de mon trou et coulait jusque sur mes burnes.

Le grand balèze noir m’a sevré en retirant sa pine de ma bouche. Il s’est approché de mon fion débordant de foutre, et a écarté davantage encore mes fesses pour faciliter la pénétration de son énorme queue. Il en a profité pour les claquer du plat de la main, et le molosse m'a embroché comme une pute. Je me sentais emmanché à la limite du possible, les parois de mon cul complètement écartelées.

Pendant ce temps, les autres m'ont donné leurs queues à lécher pour les nettoyer. Elle étaient encore dégoulinantes de sperme bien gluant que j’ai bouffé avec délice.

Après m’avoir ramoné et limé pendant un bon moment, mon enculeur s'est retiré de moi brusquement sans avoir joui, et m’a crié qu’il voulait me cracher son jus dans la bouche. J’ai ouvert la bouche aussi grand que je pouvais, et sa biroute est entrée toute entière jusqu’au fond de ma gorge. J'en avais presque le souffle coupé. Après quelques va et viens impatients, il s'est raidi et immobilisé quelques secondes avant de vider ses couilles à gros bouillons. Trois grosses giclées de ce jus de couilles tout chaud et épais ont envahi ma gorge, que j’ai avalé en hoquetant.

Ils m’ont abandonné pantelant, attaché sur la table, pendant qu’il allait se doucher tous ensemble, se sont rhabillés, et sont venus me libérer. J’étais à poil, la bouche pâteuse, la figure, les fesses et la queue maculés de foutre séché, au milieu de ces cinq jeunes mecs en costard, qui me regardaient comme si j’étais leur jouet, et j’ai vraiment aimé ça.

Comme j’avais pris goût à être soumis à cette bande d’enculeurs, depuis ce jour-là j’ai remis ça souvent, avec des copains ou des inconnus, mais jamais avec violence. J’ai même une fois été mis à poils dans un WC public par trois mecs qui m’ont sodomisé à même le carrelage, sous l’œil de deux autres qui  sont arrivés par hasard. Mais aujourd'hui plus question de sperme dans la bouche ni dans le cul malheureusement, le préservatif est de rigueur, sida oblige. Dommage!

Par Fred - Publié dans : Récits
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