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Mercredi 13 avril 3 13 /04 /Avr 18:33

Cette histoire se passa pendant l’année scolaire 2008, j’avais alors 16 ans(j'étais et suis toujours un "BG" d'après les dires de mes potes).
Je me trouvais dans une classe vraiment très soudée, tous le monde se parlait et se considérait comme ami…
Tous les jeudis nous avions sport en même temps une autre classe de seconde du lycée.
Dans cette classe se trouvais Matt… celui-ci était un peux considéré comme le bogoss du lycée…
Blond cheveux mi-long légèrement bronzé avec un sourire craquant et des yeux bleus à tomber... 
Un jour de novembre j’appris que nous faisions (notre classe et celle de Matt) piscine !
La simple idée d’imaginer le fait de devoir partager les vestiaires et les douches collectives avec les autres gars m’excitais tout particulièrement.
Vain le jour dit… Nous nous dirigions tous vers la piscine.
Je pouvais enfin exposer mon corps musclé et viril tous en me régalant des yeux lorsque je verrais les autres gars complètement nus.
Nous passions dans le pédiluve quand je croisa Matt … je ne me rendais pas conte a quel point je le fixai du regard, et soudain nos regard se croisèrent, je m’empressa de baisser les yeux…
Arrivé dans le vestiaire évidement tout le monde était anxieux, enfin tout le monde… tous le monde sauf Alexis un super bon pote à moi qui s’empressa de retirer ses vêtements en simulant un strip-tease.
Mais peux importe ce que je voulais c’était apercevoir Matt complètement nu, je le chercha du regard, il était a moitié caché derrière d’autres personnes de sa classe… je me tordis en quatre dans l’espoir de le voir correctement quand par malheurs il leva la tête et pour la 2ème fois de la journée croisa mon regard… je me sentais horriblement gêné, et je me changea en vitesse de manière à rester dans le vestiaire le moins longtemps possible .
La première heure de piscine se passa sans problème jusqu'à ce que les profs aient l’idée de faire des groupes pour des équipes de water polo.
Matt avait été désigner chef d’équipe et à ma grand surprise la première personne qu’il désigna fut :
"-Hugo! t'es dans mon équipe, t'as intérêt à carburer" Il m'adressa un léger clin d'œil.  

 

Le temps passa et les premières partie débutèrent je m’arrangeai pour rester un minimum près de lui lorsque les balles arrivaient et plusieurs fois nos corps s’entrechoquèrent, je sentis le contact de sa peau… sa peau douce légèrement halée…
Mais la balle arrivait et je du sauter pour la récupérer, là je sentis une main toucher mes fesses je me retourna, une fois la balle relancée et Matt me fit de nouveau un clin d’œil et dit :
«  hoooooooouuuuuu » t'as les fesses musclées dis donc.
A ce moment mes pensées ce mélangèrent dans mon esprit, étais-ce un appel ? Ou une simple plaisanterie ? suis-je en pleine crise de paranoïa ?
Sonna la fin du cours et le devoir d’aller ce changé.

 

Nous nous dirigions vers les vestiaires, Matt toujours très bien entouré riait avec sa bande de potes lorsqu’il les laissa partir devant. J’avançais, il ne me lâchait pas du regard, il était là immobile... je passa devant lui, je venais a peine de le dépasser qu’il me dit :  
« -Bah … sympa… j’tattend et tu m’passe devant comme si je n’étais pas là.
- Oups désolé je ne pensais vraiment pas que c’était moi que tu attendais…
- Heu… tu voies quelqu’un d’autre a part nous deux et les profs ? »

 

Il avait raison… nous étions seules … nous rentrâmes dans les douches, il n’y avait déjà plus personne… je n’osait  même pas parler.

 

« - Au faite… sa va bien avec ta copine ? me dit-il
- Heu… tu sait je crois pas que je l’aime vraiment… 
- Comment sa pas vraiment ?
- Ben… je ressens rien pour elle quoi…
- Ok, rétorqua t'il … p’tin… Qu'est ce que t’es bien foutu quand même…
- Merci…
- Elle mesure combien la tienne ? Me questionna-t-il
- Ma queue ?
- Ben oui !
- Elle fait 19cm la mienne (il est vrais que j’étais fière de mon gros calibre) et la tienne ?
- A toi de juger… »

 

A cet instant il sorti sa bite de son petit slip moulant … elle était de grosse taille… je me mis à bander, il le remarqua bien évidemment et il s’approcha de moi doucement … tous doucement… son torse n’était qu’a quelques centimètre du mien… Il mit sa main sur mon torse, et me roula une grosse pelle. Nos langues se mélangeaient voluptueusement avec notre salive pendant que nos deux corps se frottaient l’un à l’autre.

 

Il me léchait tout le torse en descendant petit a petit … arrivé a mon maillot il le fit tomber en l’agrippant avec ses dents… sa y est … on y était … il empoigna délicatement ma queue entre ses main et enfourna celle-ci dans sa bouche aux lèvres pulpeuses, je sentais sa langue s’agiter autour de ma bite et mon gland qui frottait contre l’intérieur de sa joue… au bout de plusieurs vas et viens qui m’obligeaient a émettre quelques cris et soupires de bonheur je lui éjacula sur le visage et dans la bouche… il se leva et m’emballa avec tous mon foutre plein la bouche.
C’était merveilleux jamais je n’avais ressentis un tel plaisir…
A mon tour je décida de lui procurer ce plaisir sa queue était extrêmement dure … je commença par lui lécher les testicules en remontant vers son pénis pour finir par lui lécher le gland, il gémissait c’était signe de plaisir… Je suça sa bite légèrement halée pendant de longue minutes en jouant avec ma langue et mes lèvres, puis il commença a gémir fort, je compris qu’il allait venir je l’astiqua de la main en présentant ma bouche devant son gland, a ce moment il éjacula … une longue trainé de sperme me coulait sur le visage puis une 2ème m’atterit dans la bouche … huuum… quel plaisir… c’était tiède… et tellement bon… 
Nous nous emballâmes encore puis nous retournâmes au vestiaire pour nous changer,
Une fois habillé nous quittâmes le vestiaire et il m’envoya un simple  « a jeudi »…

Quand je rentre chez moi le soir, j'ai la tête dans les nuages ! Je venais de coucher avec Matt ! Celui qui depuis si longtemps m'attirait... 
Arrivé a la maison je suis accueillit par maman, qui comme d'habitude me couvre de bisous et de calins, j'ai 16 ans merde a la fin.
"Tu rentres bien tard" me lança ma mère.
"ouai désolé je trainais avec Alexis" retorquais-je
"mais tu n'as pas de devoir?" me questionna-t'elle"
"non"
Oh mon dieuuuuuuu ! J'ai tellement pensé à Matt toute la journée que j'en ai oublié mon contrôle d'histoire pour demain !!! Je suis vraiment mal, c'est donc a grands pas que je me précipite dans ma chambre, mais une fois assis en face de mon bureau, impossible de me concentrer... Je me repassais les moments dans ma tête, tout était parfait, mais avait il aimé ça? Et puis se sentait-il "obligé" de faire tous ça avec moi ? Car en fait en y réfléchissant c'est moi qui avait pris toute les directions en main... Et si je venais de le violer?! Nan il faut que j'arrête là, je deviens parano, demain j'irais lui parler !!

 

Bilip bilip bilip biliiiiiiip!
Raaaaah cette saleté de réveil ! Et ce bruit qu'il produit chaque matin a 6h45 pétante, le même depuis 5ans maintenant... Il faut vraiment que je le change ce réveil !
Aller hop dans la douche, les cahiers dans le sac, le p'tit dej avalé en vitesse, et c'est partis pour le lycée, je pense arriver pile a l'heure a l'arrêt de bus ... Merde, je suis encore en chaussons, mais où sont mes chaussures? Une fois trouvées je cours bien évidemment, il serait bête que je loupe le bus. 
Mais forcément doué comme je suis, quand j'arrive à l'arrêt de bus je suis seul... Seul ... Seul ... Bordel ! 
Mes parents travaillent... Hum réfléchissons ... Ha je sais ! Mon seul espoir et de choper Alexis (mon meilleur ami) lorsqu'il passera en voiture avec son père, j'espère qu'il ne dira pas non...
5 minutes plus tard je vis sa voiture débarquer au carrefour et par chance il s'arretat.
"allez monte mec" me dit-il
"merci tu me sauve la vie" je m'empressais de répondre.

 

Driiiiiiiing !
Arf ! Nous ne sommes pas en avance, je ne verrais jamais Matt ce matin :(
Bon pas grave je dois absolument reussir mon controle, c'est tous ce qui importe ! 
"hey Hugo !"
C'était Matt
"Hugo Hugo attends, il faut que je te parle" ses yeux bleus magnifiques étaient plongés dans les miens "a propos d'hier ... J'ai cassé avec ma copine... Je lui ai dis que j'avais quelqu'un d'autre en vue!"
"mais pourquoi tu as fais ça?!!" retorquais-je d'une voix méprisante que je ne contrôlais plus.
"bah... Mais pourquoi t'es agressif envers moi? Je ... Enfin je pensais que ..."
"Que?!"
"que ... Non laisse tomber... J'y vais"
Il commençais à s'en aller.
"Matt ! Attends je dois te dire que... Que ..."
Je ne savais même pas ce que je souhaitais reelement lui dire... je le voulais juste là à coté de moi "que j'espère que jamais tu ne parleras de ce qui c'est passé entre nous hier !! J'en ai honte mec ! Alors si jamais tu le répètes ! Bah ... Bah..." mon dieu mais c'est complètement nul ce que je viens de lui dire ! Il doit être persuadé que je me fous de lui, qu'il n'etait qu'un plan cul...
D'ailleurs il me coupa la parole.
"Ne t'inquiete donc pas Hugo, ton plan cul ne dira rien ! Il espérait juste te proposer de le voir ce soir et de parler, d'être ensemble ! Mais tu as raison il vaut mieux que l'on ne se parle plus et puis j'ai un contrôle demain donc je dois réviser"
Raaaaah mais je veux moi passer la soirée avec lui !! Pourquoi a-t-il fallu que j'ouvre ma gueule comme d'habitude !
Matt pitié, lis dans mes yeux comme dans un livre, force moi à venir. Mais nan tu ne me regarde même plus et maintenant tu pars en direction des casiers, tu vas en cours, vivre ta vie ...
Oh mon dieu !!! Les cours !!! Mon contrôle d'histoire !!! Aïe...

Copie blanche ! j'ai rendu copie blanche en plus d'être arrivé en retard... bordel il faut que je lui parle !  
"hé Hugo !" c'est alexis "alors ce contrôle ?" 
"j'ai rendu copie blanche je suis vraiment mal..." 
" ha merde ! je suis désolé pour toi ... mais t'as des problème pour réviser? si tu le souhaite on peux réviser ensemble cet aprem..." 
"Nan c'est bon mec tkt ! Cet aprem je vois déjà quelqu'un" 
 
Il est vraiment cool alex c'est vraiment un super pote, au moins je sais que je pourrais toujours compter sur lui... Ce mec il n'a pas d'bol je comprends pas... il est super mignon, plutôt grand avec des traits très fin des cheveux châtains frisé et des yeux marron très profonds et pourtant il n'est jamais sortit avec une seule fille, la seule à qui il a déclarer sa flamme l'a envoyer balader ... c'était en sixième et depuis je crois bien que ça l'a bloqué. 
 
 :ouch: voilà Matt !!!! 
"Maaaaaaaatt !!" je crie 
raaaaaaah ! il ne se retourne pas ! il m'oblige à lui courir après... 
Matt : "oui?!" 
Moi: "heu... cet aprem? 
Matt: "cet aprem quoi?! explique là parcque je ne comprends rien mec !" 
Moi: "bah... on pourrait se voir cet aprem?" évidemment je souris bêtement...   
Matt: "Ha bah écoute il fallait te réveiller plus tôt Mec ! cet aprem je ne suis plus libre étant donné que tu m'as dis que tu ne souhaitais pas me voir! J'ai invité Cedric du coup!" 
 
TOUT s'effondre autour de moi ! Je sais pertinemment que Cedric est GAY ! J'ai envi de chialer ! ou de tuer Cedric j'hésite... 
 
En montant dans le bus je n'arrive toujours pas à réaliser... Il vont coucher ensemble c'est sur ! Il est tellement beau ce connard de Cedric, brun aux yeux vert et au teint légèrement halé... Tiens ! mais qui monte dans le bus?! C'est mon SUPER ami Cedric  :fou: ! 
 
Moi: "Hey Ced ! viens te mettre à coté de moi !" il s'installe à coté de moi 
Cedric: "Ca faisait longtemps qu'on c'était pas parler  :) " 
Moi: "oui c'est vrai il faudrait qu'on se refasse des aprem comme avant..." je pose ma main sur sa cuisse et la remonte doucement "Ca te dirais cet aprem? tous les deux? Tous seuls... enfin si tu n'as rien de prévu bien sur." 
Ma main vient de se poser sur la bosse énorme qui gonfle dans son pantalon. 
Cedric: "J'avais un truc mais rien d'important ! on va directement chez toi?" 
Moi: "Oui mon arrêt de bus est proche, j'espère que tu tiendras en attendant :p
 
A peine arrivé chez moi il me plaque contre le premier mur qui vient, puis nos bouche se collent et nos langue s'entremêlent. Sa main s'est glissée sous mon tee shirt et des frissons envahissent mon corps. Mon sexe commence à durcir à tel point que mon caleçon me parait petit. Il retire mon tee shirt et me lèche de la bouche jusqu'au nombril en passant par mon cou et sans oublier mes tétons qui pointent bien évidemment. Il défait ensuite ma ceinture et fais lentement glisser mon jean le long de mes jambes, me voici maintenant en caleçon, je lui retire alors sa chemise, son corps est magnifique, ses muscles légèrement taillés et son petit ventre tellement sensuel me font bander de fois plus. 
Tout en l'embrassant je l'allonge sur la canapé, descend petit à petit puis j'arrive à sa ceinture que je détache, puis je déboutonne son jean et lui fais retirer son pantalon. 
Nous voici maintenant tous les deux en caleçon, j'allonge mon corps sur le siens on frotte nos pénis dures l'un contre l'autre à travers nos caleçon. 
La main de Cedric se pose sur mon pénis. Ses doigts jouent avec mon gland et ils glissent sur ma verge. Puis il commence un va et vient sur mon sexe et sa langue toujours dans ma bouche accompagne ses caresses incroyables.  
Il quitte ma bouche et se met à quatre pattes sur moi. Je regardae son visage tellement différent de celui que j'avais vu dans le bus. Il se met à embrasser mon torse puis mes fesses. Il donne de légers coups de langue sur mon nombril puis s'aventure sur mon pubis. Enfin sa bouche se pose sur mon gland... 
Je suis tout à Cedric. Nos corps s'emboitent si bien ensemble. J'adore nous voir nus l'un sur l'autre. Cedric accélère et ralentis sans arrêt sur mon pénis rouge de plaisir et d'excitation. Chaque fois que je sens que mon sperme va gicler sa langue ralentit comme s'il dirigeait complètement mon plaisir. Je le regarde. Il est tellement beau complètement nu, occupé à me sucer. 
Mais... haaaaaa ! Nan ! pourquoi est ce que je pense à Matt ?! je ne peux pas ! je ne peux plus ! raaaah ! un râle de plaisir m'envahit et j'éjacule dans la bouche de Cedric qui avale tout en me regardant avec son regard à la fois doux et pervers... 

Cedric: "Tu as aimé mon ptit Hugo ?" 
je rougissais de honte, s'il savait que la personne à qui je pensais au moment d'éjaculer était très loin d'être lui... 
Cedric: "Allo, tu es là?" 
Mais il m'énerve a me poser des questions ! tu peux partir maintenant connard, d'accord tu fais bien l'amour mais c'est tout ce que tu sais faire ! A non j'oubliais tu sais piquer les mecs des autres... mais en y réfléchissant bien Matt n'est pas mon mec... 
Cedric: "Ici la terre ! Tu me suces maintenant?" Ces paroles me tirèrent de mes songes 
Moi: "Non désolé." 
Cedric: "Pourquoi?! je viens de te le faire !" 
Moi: "J'en ai pas envi c'est tout..." 
Cedric: "Putain ! j'aurais mieux fais de passer l'aprem avec Matt, elle m'aurait sucé cette chienne au moins." 
Moi: "Quoi?! Mais comment tu parles de MON cop... heu mon ami !" Ce qu'il venait de dire était une terrible offense pour moi! "Tu t'excuse pour ce que tu as dis immédiatement sinon..." 
Cedric: "Tiens Tiens Tiens" Mais j'y crois pas! Il me coupe la parole ce blaireaux! " Ne serais tu pas amoureux de Matt toi? Je comprends mieux ce que je fais ici. Tu n'as pas voulu me sucer, ce n'est pas grave, je pense que je vais pouvoir m'amuser!" 
Moi: "Non ne fais rien s'il te plais ! :( "  
Mais qu'ai je fais?! S'il lui raconte tout je ne récupèrerais jamais Matt! 
Moi:" Je t'en supplies Cedric, je suis prêt à te faire tout ce que tu veux!"  S'il fallait faire quelque chose je le ferais sans grincher.  
Cedric: "Non désolé, c'est trop tard, je n'ai pas envi... pardon... je n'ai plus envi de te faire plaisir. Tu vas voir à quel point ça frustre de commencer quelque chose et de constaté que jamais ça ne se finira, dans mon cas c'était la relation sexuelle, et dans le tiens la relation amoureuse. hahaha, j'en rigole déjà" 
J'étais décomposé... Matt, mon Matt... Si seulement tu étais là pour constater à quel point Cedric est méchant et manipulateur. 
 
Après plusieurs heure à essayer de joindre Matt sur son mobile je renonce et part me faire couler un bain, j'aime les bains. 
Ma sonnerie de téléphone se met à retentir d'un coup, merde ! j'ai laissé mon téléphone dans le salon ! je me précipite alors hors du bain et me jette sur mon téléphone, je suis complètement nu, il fait noir dehors et je ne sais pourquoi mais je trouve la scène terriblement excitante, mon excitation redescend aussi vite qu'elle n'est monté lorsque je vois "MATT" s'afficher sur mon portable, je décroche. 
 
Moi: "Allo?" 
Matt:" Hugo?! je pensais te laisser un message croyant que tu ne redonderais pas mais ce n'est pas grave je ferais ça en direct!" Je redoutais le pire. 
"Tu sais quoi?! t'es qu'un pourris mec! TU ME DÉGOUTE!" tu me dégoute... ces mots raisonnèrent en moi comme si j'étais devenu une carcasse complètement vide. "Ça t'as bien fais marrer de coucher avec lui alors que tu savais pertinemment que je devais le voir?!  
Mais tu cherche quoi là?! Réponds !!!" 
Aucun mots ne sort de ma bouche. 
Matt: Nan tu as raison ne réponds pas finalement, je m'en fiche! Je ne souhaite plus jamais entendre parler de toi HUGO! Tu entends?! PLUS JAMAIS ! Adieu. 
 
Je restait là, le téléphone collé à mon oreille, les larmes me montent aux yeux, mon cœur bat à cent à l'heure. 
Noooooooooooooooon ! POURQUOI? Je l'aime, putain je l'aime! mes larmes ne s'arrêtent pas de rouler sur mes joues. Jamais je n'avais été aussi triste de toute ma vie, jamais je n'étais tombé amoureux à ce point. 
Je repartis en direction de la salle de bain, mes larmes m'aveuglait je n'y voyait plus riens à tel point qu'au moment d'entrer dans mon bain je glissa et me fracassa la tête la première dans le fond de la baignoire remplie d'eau, j'étais évanouis... 

 

 

Disturbiiiiiiiiiia"  
Arf j'ai mal à la tête et la nouvelle chanson de Rihanna ne fait que de passer en boucle sur toutes les radio, elle ferait mieux de jouer à la roulette russe et de se faire flinguer... Je crois que si j'étais auteur je lui conseillerais pour son prochain album. 
La banquette arrière de la voiture est vraiment inconfortable, maman aurait pu prendre la mercedes au lieu de me ramener à la maison en taxi, le conducteur fait d'ailleurs vraiment peur avec sa cicatrice en plein milieu du visage. Bon ok j'arrete de me plaindre, mais j'ai quand même mal à la tête. 
"ça va toi?" 
Ha! Mais il m'a fait peur ce con! Je n'avais même pas vu qu'Alexis était assis à coté de moi... 
Moi:" Oui ça va merci, mais tu fais quoi là?" heu ouai c'est un peux froid et cruel ce que je viens de dire ...
Alexis:" ben tu vois je te racompagne chez toi, j'ai proposé mon aide à ta mère." 
Il est vraiment genial ce Alexis !! :) c'est vraiment mon meilleur ami je pense, même si je n'ai pas vraiment de meilleur ami. 
Moi:" merci, c'est vraiment gentil." 
 
"DiiisturbiiiiiiiiiiA !"  
Et l'autre qui continu à chanter, mais elle s'epoumone combien de temps merde? 
Alexis:" S'il vous plait vous ne pouvez pas couper la musique? Hugo n'a vraiment pas l'air bien!" 
Moi chuchotant:"merci toi !" 
Alexis raproche son visage du mien et murmure "tu sais pour toi je ferais tout ;)
Raaaah ! Serieux il est adorable :) 
 
"driiiiiing driiiiiiing driiiiiiing" 
Paye ma sonnerie de téléphone quoi! Faut vraiment que je la change... 
Tient c'est Matt! Mon coeur bondit subitement et je decroche. 
 
Moi:"allo? Matt?" 
Matt:" oui c'est moi tu vas bien? Tu es seul là" 
Moi:" non je ne suis pas seul! Et depuis quand tu me parle bien?!" 
Matt:" hé mais t'es fou ou quoi?" 
Moi: tu rigole? Tu me detruit au téléphone, je manque de mourir noyé et tombe dans le coma et toi tu m'appel comme si de rien n'était?!" 
Matt:" mais ... Mais... Tu n'as donc aucun souvenir de ce qui c'est passé quand tu étais dans le coma? De la conversation que nous avons eu, enfin je veux dire que j'ai eu avec toi qui dormais?" 
Moi:" T'es un abruti ou tu le fais exprès? Le medecin a dit que je ne pouvais être en mesure de me souvenir de tout! Povre type !" 
Et je raccroche. 
 
Maman:" Ça va mon chéri?" 
Moi:" oui oui ça va c'est bon." 
 
Nous arrivons chez moi et je me precipite dans ma chambre suivit de près par Alexis, il veux un autographe ou quoi?  
Moi:" tu compte jouer les gardes du corp? Je suis pas Britney spears tu sais!" 
Alexis:" Je sais je veux m'assurer que tu vas bien c'est tout..." 
Oh putin ses yeux marron plongés dans les miens et sa tignasse frisé chatain le rende trop cute ! Pas possible de lui dire de partir, et puis c'est mon meilleur ami quoi... 
Alexis:" tu veux parler?" 
Moi:" non!" 
Alexis:" dis moi ce que tu veux et je le réalise pour toi." il m'adresse un leger cloin d'oeil que j'adore, il me fait craquer et je raproche ma tête de la sienne... Ses lèvres ne sont plus qu'a quelques centimètres des miennes... Je sens sont souffle chaud sur mon visage. 
Alexis:" tu pourrais avoir besoin d'amour par exemple non?" 
Ses lèvres se rapprochent dangereusement des miennes! WARNING! Et voila on s'embrasse, sa langue entre en contact avec la mienne et ses mains se glissent sous mon tee-shirt. 
Il me plaque sur mon lit tout en m'embrassant, il retire sa chemise et je fais de meme avec mon tee-shirt, son corps en sueur se colle au mien, je suis bien là. Sa bouche descent petit à petit sur mon torse puis il me mort gentillement mon sexe dur comme jamais à travers mon jean. Il defait ma boucle de ceinture et descent mon jean et mon caleçon très lentement tout en me fixant du regard, puis il saisit mon pénise dans sa main droite et dépose ses lèvres sur mon gland après l'avoir décaloté compltement. Il commence un va et vient dans sa bouche, je sens le contact de sa langue léchant mon gland  et je ne peux m'empecher de gémir, mais peut importe la façon dont je gémis, je me sens bien et sur de moi avec Alexis. 
Alexis:" On essaye un 69?" 
Je ne reponds pas et me met en position, je trouve ça terriblement éxitant. Avec tout le plaisir que me donne Alex il est dur de me concentrer sur le plaisir que je lui donne.  
Alexis:" ha... Ho.. Attend, je vais ..." 
Quoi déjà? Mais il vient vite dit donc... 
Un liquide blanc sort de son penis et emplit ma bouche, je m'empresse d'avaler, le gout en est sucré et très loin d'en être désagreable. 
À mon tour un râle de plaisir m'envahit et j'éjacule dans sa bouche, le plaisir est intense et je me blottis dans ses bras, je suis bien là, mais en fermant les yeux, c'est l'image de Matt que j'ai en tête...

D’amour oui, j’ai besoin d’amour…
Je me sens bien là, je vis l’instant présent, c’est l’essentiel non ?
Allongé dans les bras de celui qui vient de faire mon bonheur, celui avec qui je pourrais me vanter d’avoir fais ma troisième fois. Mais c'est quand même mon meilleur ami... ne suis je pas en train de tout gâcher? Bah au moins celui là me prends pas pour un con comme le premier ! Ho non … me revoilà entrain de penser à Matt. Mais pourquoi me hante t-il comme ça ? Et moi et mes questions rhétoriques, je dois vraiment faire pitié.

 

Alexis : «  Tout vas bien mon ange ? »

 

Heu ouai ok … il se prend pour qui là ? Il est mon meilleur ami pas mon mec merde !

 

Moi : «  Mon ange ?! »
Alexis : « Ça ne te vas pas ? »
Moi : « Non pas vraiment ! »

 

Mais en fait si ! Ca me va ! Je suis complètement con ou quoi ? Il m’a bien demandé si j’avais besoin d’amour tout à l’heure non ?
Raaaah je m’en veux… Il me regarde avec des yeux d’enfants qui viendrait de perdre ses parents, puis il se lève et met de la musique… c’est  somewhere only we know de Keane !! J’adore cette chanson… il se tourne vers moi et son visage d’ange me fait craquer !

 

Moi : « Ale… heu … Amore (c’est de l’italien prononcer « Amorè » et ça veux dire amour ;) ) tu ne voudrais pas me réchauffer ? J’ai légèrement froid… »

 

Un sourire (ou truc qui y ressemble vraiment beaucoup) emplit son visage et il se rapproche de moi, vient coller son corps contre le miens, ses pectoraux contre mon dos, son sexe contre mes fesses tandis que son souffle parcours mon cou.
Je m’endors…

 


"driiiiiing driiiiiiing driiiiiiing"
Ha ! Bah ça c’est la sonnerie pourrie de mon téléphone, difficile de ne pas la reconnaitre… Je n’ai vraiment pas la motivation pour répondre, sa rappellera ou alors la personne laissera un message après le bip sonore annoncé par la pouffiasse à la voix de secrétaire dans les films porno…
Bah tient Alexis décroche c’est parfait.

 

Je me rendors…

 

Alexis : «  Hey You ! »
Son visage affiche un sourire comme d’habitude.
Alexis : «  Ce soir on sort ! On va en boite, le V.I.P ça te vas ?
OH MY GOD ! C’est ma boite de nuit préférée ! Il me connais vraiment mieux que n'importe qui !!!
Moi : «  Alors là oui ça me va ! Mais je vais devoir prendre une douche et moi j’ai peur tout seul dans la douche… » J’en reviens pas à quel point je deviens un mauvais Garçon…
Alexis : « Serais ce une invitation ? »
Moi : «  Bah… j’avais pensé à ton père, mais je suis pas sur que coucher avec le yéti soit une très bonne idée ;) » (Son père est un ami de mon oncle, un très bon ami d’ailleurs, le genre d’ami avec qui tu t’enfermes dans une pièce pour jouer… aux échecs mais ça c’est une autre histoire et je ne pense pas qu’Alexis ne se soit douté de quelque chose pour l’instant…)

 

« Le dernier à la douche savonne l’autre ! »
Rah le salot il est déjà dans le couloir ! au pire, quoi de plus agréable que de caresser le corps d’un beau garçon les mains enduites de savon ?

« Le dernier à la douche savonne l’autre ! » 
Rah le salot il est déjà dans le couloir ! au pire, quoi de plus agréable de caresser le corps d’un beau garçon les mains enduites de savon ? 
 
 
« je t’attend petit pd :p » 
Oh pas de panic je ne vais pas te laisser tout seul mec, j’ai beaucoup trop envi de toi, mais ça je ne te le dirais pas… 
J’entends l’eau couler, il est déjà sous la douche, je pousse lentement la porte de la salle de bain et mon Alexis est là, nu sous la douche l’eau lui coule sur le corps… UNE MINUTE ! j’ai dis mon Alexis ? Ola, je déraille moi, l’excitation que me procure le corps nu d’Alex et mon pénis plus dur que jamais me montent surement à la tête. 
 
Alexis : « tu es aussi dur à faire venir que ta bite est tendu toi ! » 
Moi : « C’est par ce que j’aime bien te faire attendre… » 
 
Je m’avance vers lui et ses lèvres se collent au miennes, puis son corps trempé se déposa lentement contre le miens. L’eau coule sur nos nous et les gouttes roulent sur ma peau. Alex passe ses mains dans mes cheveux tout en m’embrassant. 
 
Alexis : « C’est la première fois que je fais ça sous la douche… » 
Moi : « Pour moi c’est pareil… » 
Quel menteur je suis ! J’aimerais t’en dire autant, mais ce n’est pas le cas, ma première fois c’était avec … avec… oh non ! Je me mets à pleurer comme un débile, heureusement qu’on se trouve sous la douche sinon il verrait ça tout de suite. 
Alexis me léchait tout le torse en descendant petit à petit … il empoigna délicatement mon pénis entre ses mains et l’enfourna dans sa bouche, je sentais sa langue s’agiter autour de ma bite et mon gland qui frottait contre l’intérieur de sa joue… 
Raaah non ! Tout recommence ! J’ai l’impression de revivre tout ce que j’ai fais avec Matt… 
 
Moi : «  Je ne peux pas Alex… il faut qu’on arrête. » 
Alexis : « C’est à cause de Matt n’est ce pas ? » son visage a prit un ton grave, puis il coupe l’eau de la douche.
Moi : « Comment tu… ? Oui … » 
 
« ALEEEEEEEEEEXIS ?! C’est maman, tu es là mon chéri ? » Mon sang fait le tour de mon corps en un instant. Cette vieille conne que je ne peux supporter vient de me sauver car la situation devenais tendue mais d'un autre coté je sentait qu'on allait vite être dans la merde. 
Alexis : «  Oh my god ! Planque tes fesses sérieux si elle nous chope on est mal, elle est persuadée que je suis hétéro!! » son visage s'est décomposé. 
 
« TOC TOC TOC.» 
La mère d’Alex : «  Mon cheri à qui tu parles ? Ouvre cette porte, j’espère que tu n’as pas ramené une fille, tu sais que je suis contre ça !  
 
Si elle savait la grosse, qu’elle ne s’inquiète pas, ce n’est pas une fille que son " cheri " a ramené !

Finalement elle n'entra pas dans la salle de bain. Et dès qu'elle s'éloigna j'en profita pour me faufiler me casser de cette pièce !

 

Le lendemain :

DRINNNg (c'était Matt) 

Moi:" ok je t'écoute..." 
Un silence s'installa. 
Matt:" Ok j'ai pas été super avec toi, j'ai même été vraiment un enculé, mais je ne pense pas avoir que des tords dans cette histoire et puis surtout je suis fou amoureux de toi mais ce n'est pas pour ça que je t'appelle..." 
Moi:" Quoi, Quoi, Quoi?! Tu viens de dire que tu étais fou amoureux de moi?!" 
Matt:" Oui mais c'est pas pour ça que..." 
Moi:" Je suis fou amoureux de toi moi aussi ! Voila c'est dit! Je t'aime Matt Alligan ! Je t'aime comme jamais je n'ai aimé quelqu'un" 
Matt:" Je veux te voir... J'ai besoin de t'avoir dans mes bras... Mais je dois... Ha bah attend ma mère m'appelle je dois te laisser mon amour, on se voit demain? Ou carrement ce soir?" 
 
Oh oui !!!! Oui oui oui ! J'y crois pas je rêve ou quoi? Tout est si parfait ! Et pour une fois aucun problème, aucune embuscade. 
 
Matt:" Hugo? T'es toujours là? On se voit ce soir alors?" 
Moi:" Oui Oui Oui ! Désolé je divaguais ;)
Matt:" Alors à ce soir 21:30 je t'attenderais, j'habite au 27 avenue Calabria" 
 
Tient, c'est vrai ça je ne savais même pas où il habite. Bon il faudrait vraiment que je me prepare pour ce soir car 21:30 c'est dans ... 3h seulement?! Raaaah ! Bon réflissons... Chez moi c'est mort Alexis et sa mère s'y trouvent surement j'ai pas envis de les voirs... Oh My God ! Mais je viens de penser à un truc, si la mère d'Alex raconte à Maman que je suis gay... Je suis mal... Non non non pourquoi j'ai fais ça?! Je suis un attardé ou quoi? Bah après tout c'est peut être le moment adéquate pour qu'elle soit mise au courant. Enfin bon, le problème actuel n'est pas celui là ou vais je bien pouvoir prendre une douche et me coiffer un temps soit peux? Bon je vais aller chez Effy ma meilleure amie. En plus c'est à deux rues d'ici. 
Bah dis donc elles sont plus longue que dans mon souvenir les deux rues, on dirait plutot des boulevards. Ça doit être la fatigue, comme m'a dit le medecin il est normal que je sois vite fatigué à cause de ce putin de coma. 
Tient, la maison a été repeinte, c'est beaucoup mieux maintenant, le rose d'avant était très laid. 
 
"Diiiiing Doooong" 
Hé bah! Entre la sonnerie de leurs maison et la sonnerie de mon téléphone il n'y a en fait pas tellement de différence. 
La porte s'ouvre, Effy est là, plus belle que toujours, ses cheveux blond très très long lui descendent un peu au dessus des fesses, elel porte la mèche comme tout bon bourgeois qui se respecte, ses yeux légèrement tirés lui donne ce visage de chat majestueux son teint légerement halé correspond parfaitement à la surdose de maquillage qu'elle met et sa taille d'anorexique m'impressionnera toujours. 
Effy:" Hey you! Ça faisait longtemps" son visage affichait ce sourire que j'adore tant. 
Moi:" Tu m'as manqué meuf, j'ai vraiment besoin de toi :)enfin plutot de ta douche..." 
Effy:" No problemo Hug' tu es chez toi ici tu le sais, dommage que tu sois un ptit pd par ce que j'aurais bien envie de prendre une douche avec un mec moi." Elle me fit un clin d'oeuil, et après m'avoir embrassé elle posa sa main sur ma bite à travers mon jean. 
Effy:" Bon ça va j'arrive quand même à te faire bander." 
Moi:" Je t'ai dis Effy, un jour je coucherais avec toi, tu m'attire beaucoup trop pour que je résiste... Mais pas aujourd'hui." à mon tour je lui fis un clin d'oeil puis après m'être déshabillé devant elle je la mis à la porte en me collant à elle et m'enferma à double tour. 
 
21:00 ! Il est temps de partir, je ne choperais jamais le bus sinon, pourvu que ce ne soit pas gozilla le conducteur ce soir sinon ça va encore puer dans le bus... 
 
 
"Arret des Calabria" 
Nous y voila, dans moins de 2 minutes je vais voir l'amour de ma vie... 
Il est là, il m'attends devant la porte il est tellement adorable, et si beau, ses cheveux ont l'air décoiffés et lui donne un petit coté rebel, mais je suis sur qu'il a passé 20 minutes dans la salle de bain pour obtenir ce résultat... 
Matt:" Bonjour toi, je meurs d'envi de t'embrasser..." 
Moi:" Mais je n'en ferais rien ta mère est à la fenêtre..." 
On se mit à rire comme deux débiles, mais j'adorais sa, ses yeux étaient plongés dans les miens et je n'arrivais pas à m'en séparer. 
Matt:" Ciné, now? Pour aller voir saw 5? Il vient de sortir" (rappellez vous que l'histoire se passe pendant l'année scolaire 2008/2009) 
Moi:" Hyper romantique !" 
Matt:" Gna gna gna, monsieur n'est pas content?" 
Moi:" Mais bien sur que si j'aime ça moi, et puis de toute façon je ne suis pas sur d'être capable de me concentrer sur le film si tu es à coté de moi..." 
 
On fit le trajet à pied, main dans la mains dans les petites ruelles, mais nous ne nous étions toujours pas embrassé... J'en avais tellement envis. 
Matt:" Deux places pour saw 5 s'il vous plait" 
Le caissier était un peu trop sourriant et avait un peu trop les yeux rivés sur Matt à mon gout, nan mais pour qui il se prends lui? 
Évidemement le détour par toutes les petites ruelles nous a fait arriver en retard, et il fut difficile de trouver des places dans le noirs, mais une fois installé Matt se jeta sur moi et m'embrassa, heureusement il n'y avait pas beaucoup de monde dans la salle. 
Sa langue pénétra ma bouche, et se mélangea à la mienne, sa main droite était passé sous mon tee-shirt et carressait mon torse, un frisson me traversa de long en large et je ne pu m'empécher de passer ma main dans ses cheveux qui à ma grande surprise ne possédaient ni laque ni gel. 
Matt:" tu as de la chance je ne me suis pas coiffé, enfin j'avais un peux prévu, je sais que tu aimes me passer la main dans les cheveux..." il venait de produire un mouvement de sourcil vraiment excitant qui, si nous n'avions pas été dans un cinéma, m'aurait fait le déshabiller immédiatement. 
Sa main descendit petit à petit puis vint se loger dans mon caleçon, mon pénis était dur et ses doigts posés dessus n'allaient pas le ramolir. 
Il commença un leger va et viens, j'avais du mal à me retenir de gémir, ses mouvements s'acceleraient, mais il fallait que je le stop, il ne fallait absolument pas que j'éjacule là. 
Matt:" Don't panic my love, je saurais m'arréter." 
Et c'est ce qu'il fit à merveille, au moment où le film se termina. 
Les lumières se ralumaient et je me sentis géné de devoir remettre ma ceinture devant tout le monde, un groupe de filles nous regardaient et l'une d'elle dit tout fort: "J'ai toujours rêvé de me faire deux beau mecs gay." 
Ce qui fit rire toutes les autres, de l'autre coté de la salle un couple semblait choqué.  
Je me fis le plus petit possible pour sortir mais Matt fut acosté par quelqu'un. Le caissier... super ! 
 
Le caissier:" Salut BG, moi c'est Julian, t'as pas un 06?" 
Matt:" Pour toi?" il se mit à exploser de rire de façon tellement autaine, j'adorais ça. 
Julian:" Qu'es ce que t'as mec? J'suis hyper mignon, comment tu peux me dire  non?!" 
Moi:" Il peut comme ça..." je pris la bouche de Matt devant tout le monde dans le cinéma, et le sympatique petit Julian restait planté là comme un épouvantaille, auquel il ressemblait d'ailleurs. 
Matt:" Tiens voila un pourboire, payes toi des cours de drague avec." il jetta une pièce de 2€ aux pieds du caissier et on s'en alla mort de rire, oui, nous sommes vraiment méchant. 
 

Par Fred - Publié dans : Récits
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Dimanche 20 mars 7 20 /03 /Mars 22:18

Le week-end commençait bien pour Julien. Ses trois potes Alex, Luc et Virgile, étaient venus le chercher à l'heure pour partir à la campagne. Le soleil était aussi de la partie et les deux heures de route avaient semblé presque trop courtes. La petite ferme où les garçons venaient de poser leurs bagages appartenait à la famille d'Alex. Mais pour deux jours, elle était à eux.

La chaleur de cette belle journée de printemps les incitait à passer leur journée dans le jardin, à papoter entre mecs ou à jouer au volley. Mais rapidement, les quatre garçons eurent l'envie irrépressible de se rafraîchir. Luc constata avec un brin de snobisme :
- Ta baraque est super, Alex, mais il lui manque une piscine.
- Ah, tu veux prendre l'eau ? lui lança Alex.
Et le jeune homme saisit un tuyau d'arrosage et l'ouvrit en direction de son ami. Un petit jet fit sursauter Luc et tous les autres. Après avoir copieusement arrosé ses copains, Alex se fit prendre le tuyau des mains de Virgile, qui vengea ses potes avant de les mouiller à nouveau. Tout le petit groupe riait de bon cœur. Trempé, Alex préféra enlever son short et son caleçon, les seuls vêtements qu'il portait, pour poursuivre cette bataille d'eau. Les autres l'imitèrent et bientôt, les quatre jeunes mecs, entièrement nus, couraient et sautaient au rythme des jets d'eau. Leur pénis à l'air libre suivaient les mouvements de leurs corps. 

Épuisés, les garçons s'affalèrent dans des transats. Mais bientôt, une autre ambiance s'installa. Le regard de Julien était irrémédiablement attiré vers les corps dénudés de ses compères. Les autres commençaient aussi à s'observer discrètement. A la fois voyeurs et exhibitionnistes, les quatre mecs semblaient apprécier cette intimité partagée. Virgile, le seul métis de la bande, écartait même légèrement les cuisses, montrant franchement son sexe épais. Luc se mit à soupirer :
- Les gars, au concours de celui qui a la plus grosse, je crois que Virgile a gagné...
Les autres, qui avaient tous déjà remarqué l'organe de leur pote, y virent l'autorisation de jeter un franc coup d'oeil.
- Ça veut rien dire, rectifia Alex. On se rattrape peut-être en érection...
- Ah, ah, ça m'étonnerait, répondit Virgile, amusé et sûr de lui.
- On parie ? lança Alex.
Et le jeune homme commença à se caresser, faisant ainsi dresser sa queue, sous les regards médusés et excités de ses copains. Virgile l'imita, afin de pouvoir effectuer une comparaison. Malgré la belle taille du sexe gonflé d'Alex, celui de Virgile était vraiment impressionnant.

Julien avait du mal à réfréner son érection et rapidement, à la vue des autres bites, sa verge prit quelques centimètres. Luc, dont le regard était devenu nettement plus lubrique, en profita pour proposer quelque chose :
- Et le concours de l'ananas, vous connaissez ?
Les autres le regardèrent d'un air interrogateur.
- C'est très marrant, expliqua Luc. Celui qui a la plus grosse met une tranche d'ananas autour. Et celui qui arrive à gober la tranche a gagné.
- A gagné quoi ? s'interrogea Julien.
- Et bien, le droit de se faire sucer par tous les autres.
Les mecs rigolèrent de cette idée absurde mais terriblement excitante. Alex donna le premier son avis :
- Les conserves sont dans le placard de la cuisine... 

Quelques minutes plus tard, Luc sortait une tranche d'ananas de sa boîte et, lorsqu'il fût unanimement constaté que Virgile était le mieux pourvu, il agrandit le trou de la tranche de fruit... Virgile enfila la tranche sirupeuse autour de la queue en érection, le plus bas possible. 
- Quelqu'un veut commencer ? demanda Luc.
Personne ne répondant à l'invitation, le garçon se mit à genoux devant Virgile, approcha sa bouche du sexe dressé et l'enfourna du mieux qu'il put.
Mais il n'atteignit pas l'ananas. Virgile s'amusait de cet intérêt autour de son membre. Alex se leva rapidement pour tenter sa chance et, bien qu'il y mette du cœur à l'ouvrage, il atteignit tout juste la tranche du bout des lèvres. C'était au tour de Julien, le plus gêné d'entre tous. Le garçon s'agenouilla également, saisit maladroitement le gland par la bouche et commença lentement à descendre le long du sexe de Virgile, qui ne put retenir un petit spasme de plaisir. Goulûment, sous le regard incrédule de ses copains, Julien avala littéralement l'énorme bite du garçon et accrocha la tranche d'ananas qu'il fit remonter doucement avant de la gober. 

Les autres ne pouvaient qu'applaudir devant autant de dextérité. Julien, tout confus de s'être montré aussi gourmand, souriait en laissant couler un filet de jus d'ananas sur sa joue. 
- Eh bien, c'est ta soirée, Juju... dit Alex, tout en étendant une serviette dans l'herbe verte.
Luc tendit la main pour aider Julien à se lever de son transat et Alex l'invita à s'allonger sur la serviette. Sur le dos, les mains derrière la nuque et la queue dressée, Julien savourait cet instant où ses trois copains allaient s'occuper de lui. Les autres l'entouraient, le caressaient. Luc fut le premier à passer la langue sur la verge du garçon, bientôt rejoint par Virgile, tandis qu'Alex lui léchait les bourses. Les trois mecs passaient chacun leur tour du sexe bandé aux couilles imberbes, excitant sans cesse le jeune homme qui se félicitait de cette heureuse situation. Cette fellation à trois dura une bonne demi-heure, avant que Julien, n'y tenant plus, gicle plusieurs jets de sperme sur son ventre. 

Alex osa alors demander si quelqu'un était cap ou pas cap de se faire prendre. Luc, releva le défi immédiatement. Il se met tout de suite à quatre pattes en écartant bien ses jambes et laissant apparaitre son cul imberbe. Virgile commenca lui écarter le cul avec ses doigts. Il lui lécha le cul puis pris sa verge et positionna son gland sur le cul de Luc. Virgile lui enfonca sa queue énorme et Luc ne put se retenir de laisser échapper un petit cri. Il semblait souffrir à mesure que Virgile enfoncait sa grosse bite. Mais la douleur de Luc se transforma vite en jouissiment. Alex lui en profita pour poser son sexe sur les lèvres de Luc. Luc engloutit littéralment la verge à Alex. Tout les 3 laissaient échapper des essouflements et des jouissements. Enfin, Alex ne put se retenir et lacha 6 long jets blanc sur le visage de Luc en extase. Puis, Luc proposa à Virgile de faire le concours de celui qui éjaculait le plus loin. Virgile se retira de Luc. Tout 2 se tenait debout et se branlait. Luc éjacula en premier, et ses lourds jets blancs retombèrent sur l'herbe à 20 cm de lui. Quant à Virgile, l'orgasme arriva et son visage se crispa. Il lanca se trèès longues giclés de sperme à plus de 50 cm !! Décidemment, Virgile avait encore remporté ce concours ! 



Tous les 4 restèrent allongés dans l'herbe sans dire mot. 

Par Fred - Publié dans : Récits
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Samedi 18 décembre 6 18 /12 /Déc 21:19

Mon frère Mathieu est né au mois de juillet. L'été dernier, il avait invité des potes pour fêter ses 15 ans. Mes parents ont été priés de quitter la maison et moi,  je devais passer l'après midi avec un pote. Mais au dernier moment, celui-ci a annulé.  

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Mon frère et ses potes avaient investi toute la maison et surtout la piscine. J'étais un peu géné car je connaissais peu des gars et des filles qui me croisaient sans me voir dans ma propre maison. Au bout d'un moment, je décidais d'aller me réfugier dans ma chambre.  
J'ouvris la porte bien décidé àla fermer derrière moi à double tour mais je resta scotché en voyant Simon, completement à poil au milieu de ma chambre. Simon est un gars de 15 ans 1/2 environ, super craquant et meileur ami de mon frère. Il s'excusa mais attendant la salle de bain sans fin pour s'y changer a décidé de se changer 
dans la première chambre venue. Je  ne peux pas m'empecher de regarder son sexe beaucoup plus grand que le mien. Il est magnifique. Simon a très bien vu que je regarde son intimité mais ne remonte pas son maillot pour autant. Il me demande soudain si j'aime matter les mecs. Je bredouille que je sais pas plutot que lui avouer que j'adore regarder les autres mecs en sport. Il sourit et remonte son maillot en cachant hélas son sexe. il murmure :"t'es gay?". encore une fois je ments en disant que je ne sais pas. Je sents mon pénis se dresser dans mon boxer. Je frissonne et Simon sort de ma chambre sans un mot.  

Je suis tout exité d'avoir vu le pénis de Simon. Je glisse une main dans mon short et me caresse le bout du pénis. Je suis trop fébrile pour passer l'après midi a jouer sur ma console alors je décide d'aller me baigner aussi. Je me mets tout nu et regarde dans mon miroir mon sexe plus petit que celui de Simon.  
J'ai bientôt 14 ans et je me masturbe depuis environ un an et c'esttoujours en pensantà des gars de ma classe  
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J'enfile mon maillot et sort. Dans la piscine, ils fon les équipe pour un match de volley. Je rentre dans l'eau et je remarque Simon qui me regarde tout sourire et me lance; "viens dans notre équipe Julien !". J'accèpte mais je ne sais pas pourquoi Simon est si gentil avec moi. Esct-ce qu'il a peur que je parle de lui à mon frère ou alors il attend quelques choses de moi?je ne sais pas. L
e match est assez seré et à plusieur reprise, je sents letorse nu de Simon contre mon dos quand on tente de récuperer la même balle. J'aime ça mais c'est trop rapide pour que j'ai le temps d'apprécier. Je ne sais pas ce qui m'arrive mais je suis dans un état second. Je n'arrête pas de regarder Simon et je repense à son sexe qu'il m'a laisser voir. M'aurait t-il laisser le toucher? 

Je recommence à bander. Heureusement que je suis dans l'eau jusqu'aux épaules ! 
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L'après-midi s'étire sans fin. Les amis de mon frère partent au fur et à mesure et Ne reste que Simon et 2 filles qui s'accrochent un peu à mon frère.  Simon est sur un transat. Je regarde son torse nu et un frisson me parcours le dos. Soudain, il s'assoit en me demande si il peut aller se changer dans ma chambre. Je lui dit oui en souriant comme un gamin. Je m'en veux, je n'ai pas envie qu'il me prêne pour un gosse. 
Je passe les minutes les plus longues de ma vie. 
est-ce-que je dois aller le rejoindre ou alors je me suis fait des idées? la curiosité l'emporte etjefile discretement dans ma chambre. 

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Je suis devant ma porte. Je m'apprête à tapper mais je me ravise. Après tout, c'est MA chambre. J'entre doucement et je me trouve nez à nez avec Simon en boxer. Il me sourit et me dit qu'il commençait à désespérer. Je ne sais pas comment je dois prendre ça.  
Soudain ils 'approche de moi et murmure: "tu veux voir encore?" Sans attendre ma réponse il baisse son boxer et me laisse voir son sexe. Cette fois je le vois de tout près. Il est long, tellement plus que le mien. Je le regarde en détail et Simon attend patient que ma curiosité soit satisfaite. 

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Je sents son regard sur moi. il approche sa bouche de mon oreille et me murmure: 
-tu peux me toucher si tu veux. 
Je suis si géné que j'ai envie deme sauve rmais je reste là, à 30 cm du sexe de Simon. Je rassemble toutes mes forces et j'avance ma main, mes doigts éfleurent le long pénis et le gland délicat de Simon. Je les fait glisser sur son pénis et soudain, je me rend compte que mes caresses exitent Simon. Son pénis se dresse de plus en plus. Il devient dur et suis assez fier de moi. Je m'aventure sur ses testicules si douces et délicates. Je prrend son pénis et fais un va et vient peut etre un peu maladroit mais tellement agréable. 
-tu me montre le tiens? demande soudain Simon 
Je suis tellement géné que je retire ma main deson boxer et dis doucement: 
-Tu vas te moquer de moi 
"Pourquoi je me moquerais? 
-Parce que ...parce que...il est plus petit que le tiens. 
Si tu veux pas me le montrer c'est pas grave Julien mais j'aimerais bien, me dit gentiment Simon. 
Je suis en érection et je me dis que finalement, il serait pas si petit que ça, alors, je baisse mon maillot et sort mon pénis fierement dressé. 
Simon, approche une main et ses doigts épousent l'arrondit de ma verge.  Elle est super mignone, fait Simon et un frisson me fait gémir quandses doigts prennent mes testicules. C'est magique, je deviens fou sous ses caresses.


Simon explorait mon sexe passant de mes testicules à mon pénis sans gène. Je regardait ses mains délicates et me laissais faire. Il s'approcha de moi encore d'avantage et posa mes mains sur le bord de son boxer . Il le fit glisser jusque sur ses pieds nus. Son pénis était dressé vers moi. Simon m'attira sur mon lit où il s'assit tendis qu'il m'allongea doucement. Il descendit mon maillot de bain sur mes jambes et je crois qu'il caressa chaque centimètre carrés de mes cuisses.

pour la première fois de ma vie je me trouvais nu sur mon lit avec un autre garçon aussi nu que moi. Nos pénis étaient dressés si proches de nos nombril. 
Simon me demanda si j'étais nerveux et je lui répondis que oui. Ilposa son index sur mes levres qu'il caressa et posa sa bouche sur la mienne. Sa langue força doucement mes levres et dans un choc éléctrique toucha la mienne. J'ai honte de dire qu'à part un petitsmack échangé avec un mec pendant une partie d'action-vérité, je n'avais jamais embrassé personne. La langue de Simon était délicate et jouait avec la mienne. J'ignorais si je faisait ce qu'il fallait avec la mienne mais j'improvisais e Simon avait l'air content. 
Sa main droite parcourait mon torse et mon ventre. Je frissonnais.

La main de Simon se posa sur mon pénis. Ses doigts jouèrent avec mon gland et ils glissèrent sur ma verge. Simon commença un va et vient sur mon sexe et sa langue toujous dans ma bouche accompagnait ses caresses incroyables. 
Si ton frère savait ça, sourit Simon. Mais moi j'avais pas envie de parler de monfrère à ce moment là. Ce dont j'avais envie me semblait tellement inavouable... 
 
Simon quitta ma bouche et se mis à quatre pates sur moi. Je regardais son visage tellement différent de celui que j'avais vu toute la journée dans la piscine. Il se mis à embrasser mon cou puis mon torse. Il donna de légers coups de langue sur mon nombril puis s'aventura sur mon pubis. Enfin sa bouche se pose sur mon gland. Je n'arrivais pas à y croire. C'était tellement magique. Le plaisir m'envahit. Celui que je connaissais de mes masturbations solitaires n'était rien à côté des lèvres de Simonsur mon sexe encore vierge.

Simon vint se mettre à genoux entre mes jambes. J'écarta les cuisses pour lui offrirtout ce qu'il voulait. Il prit mon pénis qu'il plça à la verticale et fit glisser mon gland dans sa bouche. Je me mis à gémir incapable de retenir mon plaisir. Simon enfila mon pénis dans sa bouche et s'empara de mes testicules. j'avais du mal à réaliser que mon pénis se touvait dans la bouche d'un garçon et à plus forte raison dans celle de Simon. Je leva la tête et croisa le regard gourmand de Simon tendis que je voyais mon sexe luisant entrer et sortir, coulissant parfaitement entre ses lèvres.  
 
J'avais tellement fantasmé en me masturbant dans le secrêt de mon lit. J'avais imaginé ce que j'étais en train de faire vraiment. Un garçon penché sur moi suçant mon sexe n'était plus un fantasme.

J'était tout à Simon. Nos corps s'emboitaient si bien ensemble. J'adorais nous voir nus l'un sur l'autre. Je savais que je n'oublirai jamais ce moment. Simon accélérait et ralentissait sans arret surmon pénis rouge de plaisir et d'exitation. Chaque fois que je sentais que mon sperme allait gicler sa langue ralentissait comme s'il dirigeait completment mon plaisir. Je regardais Simon. Il était tellement beau completement nu, occupé à me sucer, à me dépuceler. Ses épaules étaient brunes et ses cheveux luisants. Son visage était doux et si m'on sexe n'avait pas été dans sa bouche, on aurait pu le prendre pour un ange. Ils'arréta soudain et me demanda gentiment si je voulais bien le sucer. Au ton desa voix,je sentis qu'il était géné de me le demander.Peut-etre que c'est moi qui aurait dû le proposer. Mais, j'étais partagé entre la timidité et la curiosité. Je ne savais pascomment m'y prendre et je me demanda si je saurai donner autant de plaisir à Simon. 
Il s'assis sur le bord de mon lit. Je vins à genoux entreses cuisses. J'étais terriblement géné. Je regardais son pénis à quelques centimètres de mon visage. Je le pris dans mes mains et avança la bouche. Je posa unbaiser sur son gland. Il était infiniment doux et chaud. 
Simon plongait ses yeuxdans les miens quand je me décider à glisser son pénis raide dans ma bouche. La première sentiment que j'eu, c'était que le pénis d'un garçon dans la bouche d'un garçon de mon age, c'était vraiment grand. Le membre dur de Simon emplissait toute ma bouche. Je sentais son gland décalottait sur ma langue sans doute maladroite.  
Je réalisa ce que je faisais. J'avais un pénis dans ma bouche pour la première fois. Je ne savais pas si j'aimais ça ou pas. je trouvais juste que c'était bizarre d'avoir la tête entre les jambes de Simon et de sucer son sexe. Je commença par des coups de langues réguliers et je me rendis compte que Simon aimait ça. Je vis ses orteils se crisper et je pensa que c'était bon signe... 
Je sortis son pénis et fis rouler ma langue sur son gland. Ilétait brulant. Je donna de petits coupsde langue essayant d'imiter la bouche de Simon sur mon propre pénis . Les mêmes caresses qui me faisaient jouir de plaisir 2 minutes plus tôt.

Je ne savais pas si Simon était prés à éjaculer et encore moins si j'avais envie de son sperme dans ma bouche. Ce que je savais c'est qu'il était beau et qu'il s'offrait à moi. Simon avait un corps si parfait. Son ventre plat avait de beaux abdo mais il était fin. Son corps n'était pas encore celui d'un homme, tout juste celui d'un ado sorti de l'enfance depuis peu. Sa beauté me décida et quand je sentis que Simon allait éjaculer j'acceléra le mouvement de ma langue sur sur sexe. Trois puissants jets inondairent ma bouche.

Je n'avais pas imaginé un tel raz de marée et j'avala la semence de Simon. Il m'atira à lui et il m'embrassa, le gout de son sperme passade ma bouche à la sienne. 
Simon murmura un mgnifique sourire enfantin aux lèvres: à moi de te faire jouir. 
Il mecoucha sur mon lit et vintentre mes cuisses. Je les écarta comme il me le demandait et Simon enfila mon pénis dans sa bouche. Elle était si chaude, sa langue si habile.je commença à gémir sans me souçier de mon frère qui devait être à proximité dans la maison. Je me cambrais ne pouvant resister aux caresses de Simon. Assez vite hélas, mon sperme inonda la bouche de Simon. Je fus presque géné de lui envoyer autant de sperme dans la bouche mais je vis en redressant la tête que Simonavalait mon sperme un légersourire aux lèvres. Mon dieu qu'il était beau à quatre pates sur mon lit. 

J'attira Simon et il se coucha sur moi, son sexesur le mien. Nos torses imberbes se pressaient l'un sur l'autre. Je sentais la respiration de Simon dans mon cou. Je n'arrivais pas àycroire. Jevenais de me faire dépuceler par le plus beau garçon que je connaissais. Il m'avait offert son corps et un plaisir sans fin. 
Dans le miroir derière la porte, je voyais les fesses de Simon et je lui caressa. Elles étaient fermes et douces. 

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Il te plait mon petit cul ? me demanda t'il. Je n'eu pas le temps de répondre car la porte de la chambre s'ouvrit laissant apparaître mon frère qui s'imobilisa.  J'étais tellement géné, c'était une horreur. Simon ne bougea pas mais ne paru pas mal à l'aise. 
-Quand je t'ai ditde dépuceler mon petitfrère c'était une blague, éclata de rire Mathieu.  
J'étais de plus en plus mal. J'avais honte d'être allongé là, tout nu Simon entre mes jambes. 
A ce moment là,je vis Mathieu s'approcher et vnis s'assoir sur le lit.

Simon me sourit et il me dis: t'es vraiment trop mignon Julien et je senti qu'il commençait un léger mouvement de bassin. je sentais son pénir durcir à nouveau contre mes couilles. Je remarqua que Mathieu posé sur son coude regardait le corps de Simon avec intêret. Inutile de dire que moi je ne bandais pas du tout et même si le pénisde Simon poussait peu à peu entre mes cuisses, je restais figé. C'est alors que l'incroyable arriva. Mathieu se pencha vers moi et m'embrassa. Pas sur la joue comme d'habitude mais sur la bouche. Ses lèvres étaient douces. j'avoue que ce baiser me troubla. Mon pénis se raidit peu à peu et seul Simon s'en rendit compte. Les lèvres de Mathieu caressaient les miennes. Je sentis sa langue sur ma boucheet j'hésita à ouvrir la bouche. Allez fréro, me dit Mathieu, soit pas timide, c'est juste pour essayer. chu pas PD. Il reposa encore sa boche sur la mienne et quand je sentis sa langue sur mes lèvres, j'ouvris timidement ma bouche et sa langue toucha la mienne

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Un grand frissons parcouru mon corps. c'était tellement inattendu. La langue de Mathieu etait délicate et un peu maladroite à moins que ce soit moi qui trop nerveux gâchais son plaisir. 
Simon embrassa mon cou et comme par magie, je me vis, moi, petit ado ordinaire, frissonner sous les baisers de deux garçons. Simon embrassa mon torse et mon ventre . Mathieu s'était redressé et regardait . J'étais moins intimidé et je me laissais aller sous les lèvres brulantes de Simon. Il lécha mon nombril et y glissa sa langue. Mon pénis était raide et je savais que d'où il était, Mathieu le voyait. J'étais exité et montrer mon sexe raide à mon frère ne me génait plus. Le visage de Simon disparu entre mes jambes et je sentis ses mainsprendre mon sexe et mes couilles. Ses mains étaient un peu tremblante et je réalisa que lui aussi était nu devant son copain peut être pour la première fois et en plus il faisait l'amour à son jeune frère

Je sentis la langue de Simon sur mon gland décalotté. Je poussa un petit gémissement mais me mordis les lèvres. Simon faisait courrir mon glans sur sa bouche et je sentis sa langue chaude et humide s'enrouler sur mon prépuce. Je ferma les yeux et mon amant fit glisser doucement mon pénis dans sa bouche. Ilmassait mes couilles avec gourmandise et j'écarta les cuisses pour lui façilité l'accés à mon entrejambes impudique. Simon me suçait avec douceur et c'était incroyable. Tout mon corps frissonnait. J'était à lui, à sa merci, il me dominait completement du bout de sa langue, du bout de ses doigts, du bout de ses lèvres. J'avais le gout de son sperme dans la bouche et je me lècha les lèvres pour me souvenir de la sensation que j'avais eu quand son sperme avait giclé emplissant ma bouche de son plaisir intime. 
J'ouvris les yeux pour voir si Mathieu regardait toujours et ce que jevis, je ne le cru pas. A quelques centimètres de mon visage, Mathieu avait sorti son long pénis. Il se branlait en nous regardant. Je vis ses couilles de tout prés. Elles étaient aussi imberbes que les miennes

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J'avais déja vu le sexe de mon frère mais jamais d'aussi prés, jamais en érection. Il était long et fin. Son gland était rose et parfaitement décaloltté. Ses doigts glissaient le long de cette verge magnifique et Mathieu se masturbait sans retenu. Je n'ose pas  encore croire ce que je fit alors. Je posa une main sur les doigts de Mathieu et pris son pénis dans mes doigts. J'était tellement exité. Simon me suçait comme un ange et moi je m'appretait à faire une chose que même dans mesrêves érotiques les plus fous , je n'aurais pas imaginé. J'approcha le pénis bulant de mon frère et lui embrassa le bout. Je ne savait pascomment allait réagir Mathieu mais il caressa mes cheveux comme pour me dire: allez, on le fait. Son glandsur mes levres était très doux. je lefit glisserdans ma bouche

pour tout vous dire, javais souvent fantasmer sur mon frere mais je naurais jamais imaginer que sa ariverais en vrai. Jetait entrain de vivre linimaginable:jetait entrain de me faire sucer par le plus beau mec que je conaisse pendant que je sucait mon frere.soudain mon frere saprocha et membrassa et simonnous rejoin. nous etions en train de nous embrasser quand mathieu sorti un condom de sa poche arriere et me demanda de le penetrer tout en sallongeant sur le lit. simon se leva pendant que je mallongeait sur mon frere.je mis mon penis sur sa rondelle et commenca a le penetrer, pendant que nos morp semboitait simon nous regardais en se masturbant

Le pénis de Mathieu était sur mes lèvres. Je découvrait cette géne et cette exitation de sentir le pénis de monfrère. Je regardaisses yeux quandje fis pénétrer son membre raide  dans ma bouche. Je suçais Mathieu au rythme où Simon me suçait. C'était tellement magique cette situation. J'étais completement exitéet completment à eux deux. Simon accélera le mouvement de ses levres sur mon pénis et je fis pareil sur la queue de mathieu qui emplissait ma bouche et soudain,mon frère la retira de ma bouche et 3 long jets de sperme giclèrent sur mon torse et dans mon cou. A mon tour, je sentis mon sperme monter et je prévins Simon qui sortit ma verge de sa bouche. Il me branla trés vite en m'encourageant et j'éjacula sur mon ventre. J'étais plein de sperme,celui de Mathieu et le mien. Simon se redressa à genoux et je vis qu'il se masturbait à pleine mains. Vas-y fit doucement Mathieu. Simon me regarda et je compris dans ses yeux qu'il était pret. je me redressa et pris son pénis à la main pour le masturber. Simon avança le bassin et il jicla sur mon pubis et entre mes jambes.

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Simon ramassa un t-shirt qui trainait parterre et essuya le sperme qui couvrait mon corps. Je me laissais faire comme un enfant. "On dirait que t'as besoin d'une douche Julien" murmura mon frère,puis se tournant vers Simon il proposa: on s'en occupe? 
On se retrouva tous les trois dans la salle de bain. Mathieu baissa son short et comme nous fut tout nu. On entra tous les trois dans la baignoire. Mathieur régla l'eau . Le moment que j'allais vivre serait gravé dans ma mémoire toute ma vie. Simon et Mathieu me lavèrent doucement. leurs mains parcouraient mon corps pendantque nos sperme qui se trouvaient uninstant avantsur moi serpentaient au fond da la baignoire entre nos orteils. Cette douche dura longtemps et les baisers que nous échangions étaient tendres, amoureux et complice. Les mains de Mathieu étaient délicates sur mon sexe plein de gel douche tandis que  simon Simon lavait et massait mon dos et mes fesses. 
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Ce qui se passa lors de cette douche fraternelle et ambigu fut un moment magique où je m'abandonna totalement entre les main de mon frère et de Simon.

Par Fred - Publié dans : Récits
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Samedi 4 décembre 6 04 /12 /Déc 18:38

Nous pénétrons dans la salle des fêtes, et il y a déjà pas mal de monde semble-t-il. Nous déposons nos manteaux au vestiaire prévu à cet effet ; une dame derrière un comptoir nous les prend et les accroche à un cintre. Nos trois vêtements sont ainsi ensembles. 
Nous nous dirigeons ensuite vers l’intérieur, où nous retrouvons nos amis qui sont tous essentiellement des footballeurs. Quelques-uns ont déjà des copines, comme mon meilleur ami d’enfance Guillaume qui sort avec une très jolie fille de type Asiatique. Son prénom est Wanda, elle est d’origine Vietnamienne. Nous nous serrons la main entre mecs, et embrassons les filles, dont certaines me sont totalement inconnues. Ce n’est pas à 16, ou 17 ans que l’on pratique les présentations d’usage. Je me vois bien dire :
« Morgan, je te présente Théo, l’amour de ma vie, Théo, voici Morgan un pote d’enfance »
Je me sentirai passablement ridicule. Non… à nos âges, les présentations se font d’elles mêmes, ou autour de la piste de danse, si ce n’est pas sur la piste elle-même. Avec Wanda et Guillaume, nous nous installons à la buvette, et nous commandons des boissons pour lancer la soirée.
Pour Wanda, ce sera un radeau, pour Guillaume, Théo et moi une bière, et pour Gaet un coca.
Pendant de longues minutes, nous parlons de tout et de rien, nous en profitons pour dire bonsoir aux dirigeants et à leurs épouses qui ont organisé cette soirée ; c’est pour les gens du club et leurs amis qu’elle est prévue, et de ce fait il y a plein de personnes inconnues qui se sont greffées parmi nous. En tant que licenciés, nous avons payé 40 euros ; Repas, champagne et cotillons sont dans le prix du menu, plus un petit apéritif en début de repas.
Une fois nos consommations réglées, et c’est moi qui ai offert le premier verre, nous nous trouvons une table de huit. Comme nous sommes déjà cinq, il reste trois places de libre. Nous nous asseyons, et remarquons que Gaétan discute avec une jeune fille de son âge…
Tiens, le petit aurait-il déjà un ticket ?
Après avoir parlé quelques minutes avec cette fille, Gaétan se rapproche de moi et me demande :

« Je peux demander à Charlène de venir s’assoir avec nous, elle n’a pas envie de rester avec ses parents ! »
« Pour moi pas de problèmes… »
Je regarde les autres, en commençant par Wanda, galanterie oblige, et m’adresse à Charlène et Gaétan :
« Oui bien sûr, viens avec nous, il reste trois places »
« Merci… tu es Lucas le frère de Gaétan ? »
« Oui, c’est moi. Voici Wanda, Guillaume, et Théo, mais je crois qu’on se connait, je t’ai déjà vu au collège l’année dernière »
« Oui c’est vrai, je me souviens » me dit-elle tout en me dévisageant, puis elle poursuit
« Vous vous ressemblez  pas trop tout les deux, sauf un peu les yeux , peut-être… »
« Tu sais il vaut mieux que je lui ressemble pas trop, car toutes les filles lui courent après à Lucas… et aussi à la blonde là, tu vois ! » lance alors Gaétan
« Et oh, Gaétan, écrase un peu ptit rigolo » lui répond Théo en riant.

Je vais alors m’asseoir entre Guillaume et Théo, pour discuter un peu tranquillement. Pendant ce temps le DJ enchaîne les morceaux en fonds sonores, mais malgré le volume qui monte, nous pouvons encore nous entendre.
Guillaume, je le connais depuis l’âge de 6 ans. Nous avons commencé le foot tous les deux, et depuis nous avons toujours joué ensemble. Cela en fait des heures et des heures d’entraînement ensemble…
Avec Théo désormais, nous faisons toujours les exercices tous les trois ensembles ; il y a beaucoup de complicité entre nous, et pour moi Guillaume est un garçon extraordinaire. Nous avons grandi côte à côte, tous les mercredi et samedi, de débutants à 16 ans nationaux, en passant par les catégories poussins, benjamins, 13 ans, 15 ans, et cela resserre obligatoirement les liens…
Nous avons travaillé pour progresser, et ainsi, pourquoi pas devenir ce qui est le rêve de beaucoup de gamins, à savoir footballeurs professionnels. Mais comme ce n’est pas le sujet du chapitre, passons et oublions le foot, car avec moi, dans 25 pages Word, ont y est encore…

Guillaume n’a pas été à l’école privé, et nous nous retrouvons uniquement sur le terrain. C’est un garçon soit disant très beau. Non…pas soit disant… il est canon en vérité ! Il est brun de chez brun, d’un noir très foncé, avec une coupe de cheveux façon décoiffée qui part dans tous les sens au-dessus de sa gueule d’ange ; un grand front surmonte ses beaux yeux, et on voit les racines de ses cheveux redressés sur la tête, il a des petites taches de rousseur sur son nez, qui est trop mignon lui aussi. Sa bouche est pulpeuse, et ça lui donne un air « de tombeur » qui lui va si bien. Son seul problème, et encore, c’est qu’il porte un appareil dentaire pour lui redresser quelques dents, et cela depuis deux ans au moins.
Bon… ça lui enlève un peu de son charme naturel quand il sourit, mais ce n’est pas grave, le reste compense. Il est bien fringué lui aussi ce soir, et on sent beaucoup de goût dans le choix de ses vêtements. Comme je vous le dit il a beaucoup de charme, et c’est marrant parce qu’en le regardant assis là à côté de moi, je regrette presque un peu qu’il soit hétéro !!!
Ah ! Théo est là, et il est encore plus beau à mes yeux ; donc finalement, pas de regrets !
Sur le terrain avec Guillaume, nous avons un peu le même jeu, mais en tant que capitaine, mon rôle est plus influent que le sien. Je crois avoir sans doute plus de charisme que lui auprès de mes coéquipiers, et ainsi je suis plus écouté. Lui joue en numéro 10 pour les puristes, moi juste derrière lui en numéro 6. Il est plus offensif, et moi plus défensif. Quoi… c’est bon ! Vous avez bien compris ??? (Fabrice, lui c’est sûr, il a rien compris, lol).
Il est légèrement plus petit que moi, environ 1M75, mais techniquement avec le ballon, il est très bon ; tout naturellement c’est lui qui a la charge de tirer les coups de pieds arrêtés, et il les frappe très bien…

Ce soir la musique est sympa, et cette soirée s’annonce bien… nous sommes tous les six à discuter attendant le début des festivités, et différents groupes se sont constitués faisant comme nous, soit assis à une table, soit debout un verre à la main.
Tout à coup, mon esprit quitte la discussion et je me mets à penser à ce que nous avons décidé de faire Théo et moi ce soir ; je reste songeur me demandant comment cela va bien pouvoir se passer... je le fixe du regard, mais il semble serein et me sourit tout en continuant de parler avec Guillaume.
Je reste intrigué, parce que je ne sais pas où nous allons bien pouvoir trouver un endroit tranquille pour perdre ce que l’on appelle notre pucelage ; et surtout, serons-nous suffisamment amoureux pour réaliser notre promesse de fin d’après-midi ?
Il va falloir en parler avec lui, parce que même si on veut tous les deux le faire ce truc inoubliable, on ne va pas faire ça dans les chiottes quand même !!! Il y a bien la solution de retourner chez moi à minuit, mais à pied c’est impossible, ça nous ferait trop loin, et surtout aller-retour… donc, où aller ?
A cet instant, j’aperçois deux filles qui nous regardent de la porte d’entrée ; il s’agit de Virginie et Sonia.
« Regardez, il y a Virginie et Sonia là-bas, on pourrait leurs demander de venir avec nous, comme ça notre table serait complète ? » dis-je
La réponse se fait unanime, et je me dirige donc vers elles en compagnie de Théo pour les convier à notre table. Vous pensez bien que deux jeunes don Juans comme nous se déplaçant vers deux filles pour les inviter à leur table, il est impossible de subir l’affront d’un refus. C’est ainsi que nous retrouvons à huit à notre table ; 4 filles et 4 garçons !!! Si ce n’est pas fait exprès ça…
Bizarrement et de manière naturelle nous ne nous sommes pas mélangés ; les garçons sont restés entre eux sur une moitié de la table, et les filles entre elles sur l’autre. Je me retrouve entouré de Théo et Guillaume, celui-ci gardant sa princesse à sa gauche, et Gaétan a pris place à coté de Théo, mais il a lui aussi gardé celle qu’il convoite à ses cotés, Charlène.
Si vous avez bien suivi… Théo, il se trouve à ma droite ou à ma gauche… ? lol
Je profite d’un moment de calme pour me pencher vers Théo et lui glisser à l’oreille :

« Au fait, on va aller où tout à l’heure à minuit, pour………… ? »
« Pour faire l’amour ! » me répond-il « Pourquoi tu n’arrives pas à dire le mot le plus beau de la langue française ? Ça te gène tant que ça de dire, « pour faire l’amour » ! »
« Euh, non, c’est pas ça, mais ça répond pas à ma question Théo ? »
« Pourquoi n’irions nous pas chez moi, c’est pas si loin, en prenant par le quartier St -------… »
« Tu crois ? Mais il n’y a personne chez toi ? »
« Non, mes parents sont partis chez mon oncle avec ma sœur et mon petit frère, et ils ne rentrent que demain soir. »
« Génial ça, j’y avais pas pensé ! »
« Quand tu sais pas Luc, tu me demandes… » dit-il en rigolant discrètement
« Si je pouvais, je mettrais bien ma langue dans ta bouche » lui dis-je
« Moi je mettrais bien autre chose dans ta bouche… »
« Ptit cochon, va ! Tu vas voir ce soir, je vais m’en occuper de ta bouche… »
« Lucas, tu as oublié qu’on s’occupait d’autre chose cette nuit ??? »

Le repas a été assez rapide, et à 23H45, nous en étions déjà au dessert. Les discussions étaient animées, allant des derniers résultats de notre équipe de 18 ans en ligue, aux bilans scolaires du premier trimestre des uns et des autres, en passant par nos cadeaux de Noël… enfin… des banalités quoi !
À un moment Théo a l’idée de lancer enfin une conversation un peu moins banale que les autres en posant une question importante à nos yeux :
« Vous en pensez quoi de l’homophobie ? Vous avez vu le jugement sur les mecs qui ont fait preuve d’antisémitisme avec le jeune juif ? En plus le mec il était homo, et ils l’ont battu à mort, c’est incroyable non ? »
Les réponses fusent et sont diverses ; je m’aperçois que le couple Guillaume-Wanda n’est pas homophobes, quant à Gaétan, lui il semble s’en foutre complètement des pd ! En fait, il est beaucoup plus intéressé par le visage de Charlène, que par notre sujet de conversation…

Les gens commencent à se lever de table, et tout le monde se rassemble au milieu de la salle, les 12 coups de minuit approchant. Le président du club, prend le micro, lance deux ou trois banalités à l’assemblée, et entame le décompte final :
« 12 11 10 9 8 7 6 5 4 3 2 1…… BONNE ANNEE 2008… BONHEUR ET SANTE POUR VOUS TOUS, DIRIGEANTS, JOUEURS, PARENTS DE JOUEURS ET AMIS DU CLUB !!! »
Et comme partout le veut la coutume, tout le monde s’embrasse. Je commence par mon petit frère, ne pouvant pas faire autrement, puis Guillaume et les filles, et je termine avec mon Théo. Très discrètement nous nous effleurons les lèvres en passant de la joue gauche à la droite…

« Bonne année Lucas, je t’aime mon amour… faut y aller, je vais prétexter un mal au ventre soudain, ok ? »
« Bonne année à toi aussi mon Théo, je t’aime aussi pour toute la vie… ok d’accord… et on file ! »
« Nous nous absentons, on va chez moi, j’ai mal au ventre depuis ce matin… on va chercher des cachets avec Lucas » dit-il aux autres
« Tu as vraiment mal ? » dit Wanda… « Vous voulez que Guillaume vienne avec vous ? » poursuit-elle
« Non, merci, on fait juste l’aller retour ! »
« Je viens moi si vous voulez… » dit alors Gaétan
« Pas la peine frèro, reste à la table et récupère nous des coupes de champagne, ok ? On arrive… »

Discrètement nous quittons la salle, et après avoir récupéré nos manteaux, nous prenons la direction de la maison de Théo, à environ cinq minutes de marche rapide.
Tout le long du chemin nous ne disons pas un mot. Nous réfléchissons sans doute l’un et l’autre à ce que nous allons faire. L’espace d’un instant, Théo m’a attrapé la main droite, mais je ne sais pas pourquoi, je l’ai relâché. Cela l’a fait sourire…
Quelques instants plus tard, il recommence, mais là, il me la serre un peu plus fort pour me faire comprendre de ne pas la lâcher. Je regarde autour de nous, et il fait sombre ; tout semble mort… il n’y a personne dans les rues à cette heure-ci… mais on entend du bruit et des voix en passant devant les portes des habitations… les gens font donc la fête !
Je garde alors sa main dans la mienne, bouge mes doigts autour des siens… c’est déjà pour moi un geste fort, un geste tendre, et quelques larmes de bonheur sont prêtes à couler. Ces premières larmes de 2008 en annoncent d’autres, mais ça, l’avenir me le démontrera. Nous arrivons devant la maison de Théo, pénétrons à l’intérieur, nous dirigeons directement dans sa chambre, et là…

Nous nous jetons l’un sur l’autre comme des sauvages, nos lèvres s’empalent les unes sur les autres, et immédiatement, nos langues s’enroulent follement… nous sommes furieux de désir, furieux de plaisir !
Nous nous embrassons vigoureusement, puis après quelques minutes ce baiser devient plus langoureux, plus tendre, jusqu’à ce que le désir monte pleinement en nous. Je passe ma main sur sa nuque, dans ses cheveux, sur son dos, j’en profite pour lui enlever son manteau, et commence à déboutonner sa chemise noire. Mes doigts s’y glissent à l’intérieur, passant de son dos à son torse, et de son torse à son dos… je le sens frémir de désir, et son corps est parcouru de frissons lorsque mes doigts frôlent maintenant l’un de ses tétons.
Théo me regarde, puis fait la même chose avec moi ; nos bouches restent soudées l’une à l’autre, il a enlevé ma chemise, l’a jeté au sol, et me caresse de ses deux mains.
Depuis le départ de la salle quelques minutes plus tôt, nous n’avons pas ouvert la bouche jusqu’à ce sauvage, puis voluptueux baiser.
Etait-ce l’angoisse de l’imminence de ce moment tant attendu ? Etait-ce la peur de briser la magie de cet instant en parlant d’autre chose ou d’aborder ce sujet que nous ne connaissons encore que dans nos rêves et fantasmes ? Etait-ce un choix inconscient de les garder fermées jusqu’à notre future étreinte ?
Je lui hôte sa chemise, et nous nous retrouvons tous les deux torses nus… je vous laisse imaginer ces deux ados face à face, et se posant chacun de leur coté les questions fondamentales sur l’acte sexuel qu’ils vont entreprendre pour la première fois de leur vie…
Sans enlever les boutons, Théo fait glisser mon pantalon qui entraine légèrement mon boxer sur la pente descendante. Par réflexe je le retiens, et quant à moi, je lui déboutonne son jean noir et le fait descendre à ses pieds.
Au même moment, nous enjambons nos pantalons encore sur nos chevilles, et nous les ramassons pour les garder pas trop froissés. Nous sommes tous deux en boxer, et après avoir fait voler nos chaussettes, nous nous regardons… plus que ça, nous nous admirons… nous nous dévorons des yeux précisément…
Je l’attrape vers moi, le serre dans mes bras, et je sens que son sexe est déjà en érection. Je lui dis alors :

« Je te souhaite encore une fois une merveilleuse année Théo, et surtout mon ptit amour, je voulais te demander une dernière fois pardon, et te jurer de mon amour aussi profond qu’il puisse m’habiter en cet instant même »
« Bonne année Lucas, tu sais, moi aussi je te promets de te donner tout mon amour et je ferai tout pour te faire oublier ces mauvais moments de cette dernière semaine »
« Théo, tu es prêt ? Tu crois qu’on le fait, j’ai tellement peur… »
« Ecoute Lucas, on se l’ai promis… je sais bien qu’on n’est peut-être pas tout à fait prêt, mais on s’aime, et quoi que nous fassions, quelque soit la façon dont on va le faire, ça restera un souvenir impérissable… et moi, je veux le découvrir avec toi, et maintenant ! »

Je ne répondis rien. J’avais certainement beaucoup plus peur que lui…
Il me prend dans ses bras, m’embrasse à nouveau, puis me couvre de petits bisous le long du torse. Je frémis légèrement… ses doigts, ses mains affolent mon corps, je sens mon sexe se raidir totalement. Sa bouche sur mes tétons me rend fou, je suis une marionnette entre ses mains, je suis fou de plaisir, fou d’envie, et je n’ai qu’une hâte, c’est qu’il me baisse mon boxer et libère enfin ma verge qui commence à me tordre de douleur à chaque passage de ses lèvres sur les miennes et de ses doigts sur mes tétons qui sont tendus à l’extrême.
Je crois qu’il a compris qu’il devait prendre les choses en mains. Il se met à genoux devant moi, le regard interrogateur, comme s’il attendait l’autorisation de pouvoir enlever ce morceau de tissus, ce dernier rempart à mon intimité…
Il approche sa bouche et me mordille le sexe au travers de mon boxer. Mon gland est totalement sorti de son enveloppe protectrice, et j’ai l’impression qu’il me fait un mal de chien… à chaque passages de sa bouche ou de ses mains qui sont encore sur mes deux tétons, j’ai l’impression que mon gland va exploser de bonheur, et c’est vrai que ça me fait un peu mal !!! Mais c’est une douleur très différente des autres et qui se supporte parce qu’elle en annonce une autre ; une douleur qui est un plaisir explosif… celui de l’éjaculation, et j’y pense sans doute trop vite…
Je ferme les yeux, je n’en peux plus… je sens mon sexe enfin libéré de son étau, j’enjambe mon boxer tombé à mes pieds, je garde les yeux fermés, et me sachant maintenant entièrement nu devant mon petit amour, cela augmente encore plus mon excitation. J’ai envie de me masturber, de me toucher le sexe, j’ai envie de sentir Théo me prendre dans sa bouche, et je sens le bout de sa langue sur mon gland frémissant. C’est incroyable, sans qu’il me touche, je suis déjà prêt à éjaculer. Il se redresse alors, et nous sommes toujours debout face à face.
Je lui fais comprendre mon état d’excitation maximum, et pour retarder notre plaisir commun, il se calme dans ses attouchements. Il m’attrape ma main droite, et la dirige sur ses fesses. Je lui baisse alors son boxer…
Sa verge est bien bandée, et je comprends ce qu’il veut. Je descends mes doigts le long de son dos, parcours la raie de ses deux belles petites fesses, et le bascule doucement sur le lit en lui demandant de se mettre sur le ventre. Mes mains parcourent son corps, caressent ses deux globes musclés, et je me rends compte que pour la première fois de ma vie, je fais ce que je veux d’un beau petit cul autre que le mien. Mon gland rempli de sang a atteint un niveau de sensibilité qui fait qu’un simple courant d’air risquerait de me faire éjaculer… je n’ai pas intérêt à le frotter à quoi que ce soit, et j’y fais très attention. Il faut vraiment que j’éteigne cet incendie au plus vite !
Je me mets à genoux à côté de lui, et mes mains parcourent tout son corps, de la plante de ses pieds, en passant par les mollets, derrière les genoux, et en remontant sur ces deux superbes cuisses que mes lèvres couvrent de bisous. Que c’est beau… je suis aux anges. Ma main repasse sur la raie de son petit derrière, l’autre essayant tant bien que mal de caresser en même temps ses deux fesses musclés. Je remonte le long de sa colonne vertébrale, je scrute son dos, j’admire ses muscles dorsaux, et mes mains s’affolent en parcourant son échine, son cou et ses cheveux. Je le vois se cambrer légèrement, et il me fait ainsi comprendre que je dois commencer à masser son petit trou.
Je m’approche, je m’accroupis au dessus de lui à hauteur de ses cuisses, je me penche en avant, et mes lèves pour la première fois sont en contact avec des fesses. Je suis surpris moi-même par la douceur de sa peau, et j’y laisse glisser mes lèvres un peu partout ; il tressailli, se cambre à nouveau, et me dit « vas-y Lucas, prend moi, avec tes doigts d’abord… »
Ma main s’approche de son anus, je suis visiblement curieux de voir ce que je vais entreprendre de faire. Ma main gauche écarte ses deux fesses, et pour la première fois, je vois son anus à 30 centimètres de mes yeux. Je pense que ma curiosité l’emporte alors sur tout le reste, j’introduis doucement un doigt entre ses fesses, puis je plonge dans son anus. Quelle n’est pas ma surprise de sentir une certaine humidité, comme si un lubrifiant y avait été déposé au préalable. Mon doigt ne trouve aucune difficulté à s’y introduire. J’insiste encore une fois.
Essayez d’imaginer un ado de 16 ans qui découvre toutes ces choses à la fois !!! Je retire ce doigt, et en enfonce maintenant deux en même temps. Là c’est un peu plus difficile, et j’essaie d’imaginer le diamètre de mon sexe en le comparant à mes deux doigts. Je les tourne dans son anus, et fais quelques va et vient ; je vois alors que Théo se cambre régulièrement, il accompagne le mouvement de mes doigts, et de temps en temps, il pousse des petits râles trop excitants.
Mon autre main n’est pas inactive, et mes caresses ne laissent pas Théo insensible ; son excitation semble elle aussi très grande…
Il se retourne, prend un préservatif, découpe l’emballage, le présente sur mon gland, et le déroule lentement bien à fond. J’avais déjà mis des préservatifs, mais c’était juste comme ça pour essayer, et pour voir l’effet que ça faisait.
Mon gland est désormais devenu un peu moins sensible semble-t-il. Le visage de Théo est un peu rougi par la chaleur. Il me regarde, légèrement gêné, et me dit :

« Comment je me mets ? »
« Quoi comment tu te mets ? J’en sais rien, moi, comme tu veux… »
« On n’a pas de lubrifiant, comment on fait ? »
« Tu crois en avoir besoin, t’es tout trempé à l’intérieur »
« A mon avis si, il faut quelques chose… »

C’est un dialogue de fou à deux minutes de faire une chose inoubliable, et je me mets à rigoler, imaginant la scène… je le vois partir vers la salle de bain où il récupère une savonnette, la mouille au maximum, et revient. Son visage est radieux, il est magnifique. Il me passe la savonnette sur ma verge, étale rapidement le savon, et prend position.
Il se met à genoux, écarte ses cuisses au maximum sur les cotés, et se penche en avant en se cambrant le plus possible, pour me faciliter la pénétration.
Je suis à genoux derrière lui et m’approche doucement, mon pénis tendu à l’extrême. Le grand moment est enfin arrivé…
Mes jambes flageolent, je suis nerveux, mais en même temps très excité ; j’ai finalement très envie d’enfoncer définitivement ma petite verge dans ce trou, là devant mes yeux. Je mouille son petit trou avec un peu de salive, tout en y enfonçant le bout de mes doigts. Puis c’est au tour de mon sexe raidi et lubrifié de venir se placer devant l’entrée de son intimité, et de le pommader doucement. Soudain j’y suis, mon sexe pénètre son anus, et je suis étonné de le voir disparaitre comme cela ; je sens les parois à l’intérieur se dilater sur mon passage, jusqu’au resserrement tant redouté. On m’avait averti qu’il ne faut pas s’arrêter, et à cet instant j’ai l’impression de ne pas pouvoir aller plus profond, mais je pousse une fois encore, et je sens la voie se libérer à nouveau. Théo pousse un râle plus prononcé, et me demande d’aller encore plus à fond. Je l’écoute, et une fois au maximum de ma taille, j’ai l’impression qu’on ne peut pas aller plus loin.
Une pensée me vient, et qui a le mérite de me détendre ; comment avec un sexe bien plus long que le mien, peut-on tout enfiler….
Je commence à faire des vas et viens, et à peine deux minutes après, mon gland me refait mal, je me sens écorché vif. Théo grogne bruyamment, et je ne sais s’il en rajoute ou pas ; peut-être mais je n’ose pas lui demander de peur d’en rire, et je trouve la situation relativement comique. Je prends beaucoup, beaucoup de plaisir, c’est la première fois, mais c’est un pied énorme. J’aimerais que cela ne se termine jamais, mais il y a des impératifs physiologiques que je ne maitrise pas trop. Mon sexe, c’est lui qui commande à cet instant-là !
Je n’en peux plus, et Théo bouge tellement que je n’ai même plus à faire d’effort. C’est lui qui en rythme avance et recule ses fesses en s’empalant le long de mon sexe bouillant, et je sens déjà que je suis au bord de l’implosion.
J’essaie de le dire à Théo, mais il ne m’entend pas… d’ailleurs peut-être les sons ne sortent-ils plus de ma bouche… mon cœur bat à une vitesse folle, et je sens que je ne vais pas tenir une minute de plus…
« Putain Théo je vais éjaculer, putain, putain … Théo… Théo… »
Théo se dégage alors prestement et j’aperçois une dernière fois son anus totalement dilaté ; je n’en reviens pas… je garde en moi cette image, que je ne veux à jamais oublier…

Il s’assied devant moi, écarte les jambes, retire mon préservatif, et me prend en bouche.
Pas besoin de chronomètre, ça a duré 43 secondes… sa langue me fait trop de mal ou de bien… je ne sais plus. J’essaie d’extraire mon sexe du pouvoir de sa langue, mais il me le retient avec ses dents, et avec cette pression supplémentaire, je sens soudain une onde de choc me parcourir. A cet instant toute ma semence est expulsée de mon gland en fusion pour aller remplir le fond de sa gorge en une multitude de spasmes, de jets, et de tout ce que vous voulez…
Vous savez la masturbation, c’est cool, pas de problèmes, mais faire l’amour comme cela, c’est « masturbation x 100 »… j’ai rempli toute sa gorge de mon jus, j’ai regardé son visage prendre une expression de surprise, puis il a tout avaler. Je sais aujourd’hui ce que veut dire « jouir » et c’est fantastique, c’est trop puissant, et à recommencer au plus vite ! Il a tout avalé ce fou, qu’est ce qui lui a pris ?

Je reprends mon souffle et mes esprits, Théo est sur le dos, et il récupère ; les yeux au plafond il ne sait plus très bien ce qui nous arrive. Je suis plus prompt que lui, je m’approche, et de suite le caresse, lui prend son sexe entre mes doigts, et entame une petite masturbation.
Rapidement sa verge se redresse fièrement, et je la prends alors dans ma bouche et suce avec efficacité ce tuyau de xx centimètres (attention, j’ai pas dit 20, lol). Très vite son érection atteint à nouveau son paroxysme, et il semble enfin prêt. Je me place à côté de lui et il comprend que c’est à son tour de s’occuper de mon petit trou, mais j’ai très peur.
Mon corps est raide, et je ne sais pas si un phénomène de honte ne me parcourt pas la tête durant quelques secondes. Il utilise la même méthode que moi ; après maintes caresses qui me détendent, ainsi que quelques bisous au bon endroit, je sens un doigt me transpercer. Putain, ça m’a fait mal déjà ! Oula, je ne sais pas à quoi je dois m’attendre…
Il essaie de passer deux doigts, et je sens mon anus se braquer de lui-même contre cette intrusion. Peut-être que ça marche dans un sens et pas dans l’autre pour moi…
Je souffle quand je sens ses doigts sortir, et un soulagement me parcourt l’échine, lol. Vous savez, c’est comme quand le dentiste vous passe la roulette ; quand ça s’arrête, ça fait du bien !
Il insiste plusieurs fois, et mon anus se dilate un peu, mais pas suffisamment.

« Lucas, si tu te détends pas, je ne vais pas y arriver, fais comme moi, pense à autre chose… »
« T’es marrant toi, un doigt ça me fait mal, deux ça coince, alors ton truc énorme, ça va jamais passer, putain, Théo… »
« Attends, je vais te mettre de la savonnette, mais ce qui est bizarre, tu mouilles pas comme moi »
« Ouais, vas-y, mais si on avait du lubrifiant, on serait moins con quand même… »

Il me masse le fion avec la savonnette et m’en fout un peu partout, je sens ses doigts passer et repasser autour et à l’intérieur de mon trou, et là je défie quiconque de pudique de rester dans la position où je suis. Il met un préservatif, je le suce un peu, beurk… quelle erreur ! Je lui mets de la savonnette sur le sexe, le masse avec les doigts, et je me mets alors sur le dos.
Il comprend où je veux en venir ! Il s’approche de moi sur les genoux, je monte mes jambes et je les pose sur ses épaules en les écartant au maximum. Non pas pour écarter les fesses et lui libérer le passage, mais tout simplement pour ne pas avoir mal moi-même ! Je me contracte, j’ai trop peur d’avoir mal, et je sens que je vais avoir mal.
Il me pénètre, s’enfonce en moi, passe l’anus, et pousse. Je crie une première fois, j’ai l’impression qu’on m’arrache le trou du cul. Je crois qu’il est au fond, je regarde son sexe… non, ce n’est pas possible, il mesure combien ? Tout à coup, je sens qu’il pousse une nouvelle fois ; visuellement, je vois son tuyau s’enfoncer dans ma gaine, et je ressens une énorme douleur. Je crois que je vais me déchirer, j’ai peur, j’ai trop peur, et j’ai trop mal.
J’ai mal et je ne souhaite qu’une chose, c’est qu’il se retire vite ! Je lui dis 4, 6, 10 fois…
« C’est bon Théo, putain, sort, j’ai mal, trop mal… »
« Ca y est Lucas, je suis rentré, ça va aller, fais-moi confiance… »
Je ne sais pas ce qui se passe ; j’ai les yeux fermés, je sens maintenant que Théo fait des vas et viens, lentement, il me caresse le sexe, et me demande de me masturber. Je l’écoute, je me prends en main, et je commence à en oublier la douleur. A chaque avancée de son bassin je sens son pubis écraser mes testicules, comme si j’avais besoin d’une douleur supplémentaire !
Pendant ce temps, Théo prend son pied, il a un visage satisfait, il rentre, il sort, il se balade dans mon petit cul, comme dans un champ de blés… (lol)
Petit à petit j’ai de moins en moins mal, je me détends un peu, et je commence à ressentir les bienfaits des ses vas et viens dans mes entrailles. Je gémis un peu quand il touche le fond, et qu’il frôle ma prostate, et je prend finalement du plaisir… et encore un peu plus voyant Théo me regarder de partout. Quand je réalise la position dans laquelle je me trouve, je recommence alors à mon tour à ressentir de l’excitation.
Au bout d’un temps qui me semble très très long, environ 3 heures… non, je rigole… environ 15 minutes, je sens que Théo se retire ; je suis soulagé ! Ouf, mon trou est libéré, vive la libération !!!
Théo enlève alors son préservatif, m’introduit son pénis dans la bouche, sale brute, et je le suce deux minutes pour enfin recevoir une bonne quantité de son sperme tiède dans la gorge.
Tout comme lui, je n’hésite pas un instant et j’avale tout. J’ai déjà avalé mon sperme, donc je ne suis pas trop dégoûté… au contraire même ! Je ne sens pas trop de différence de goût entre lui et moi, ou tout du moins je n’en suis pas véritablement conscient.
En tout cas, j’ai au moins senti quatre jets de suite inonder ma bouche. Théo est affalé sur moi, et nous venons chacun notre tour de jouir véritablement pour la première fois ! Car le cri qu’il a poussé lors de l’éjaculation, ce n’était pas un cri ordinaire.
On s’embrasse encore puis je regarde ma montre ; il est déjà deux heures…

« Putain Théo, c’est trop bon, si tu savais. J’en reviens pas, on est plus puceau, et on a fait l’amour tout les deux, c’est merveilleux… putain comme je t’aime ! »
« Oui Lucas » dit-il encore essoufflé avant de reprendre « on a fait l’amour, oui ! Et on a joui, toi et moi… quel pied, ouah ! J’en peux plus, je suis mort… »
« Si tu avais une meilleure condition physique, tu serais moins essoufflé… »
« Et toi, si tu te retenais un peu plus, t’éjaculerais pas si vite… » me répond-il taquin
On s’attrape tout les deux, et on se bagarre alors gentiment…

« Je vais te faire mal encore, t’as déjà un œil tout noir, alors faut que je fasse attention Lucas »
« Ouai, tu abandonnes alors, allez on se douche rapidement, et on y retourne ok ? »
« Ok, allez on fonce ! »

A deux heures cinquante, nous étions de retour dans la salle. La fête bat son plein et tout le monde danse. On pénètre dans le noir, et on se dirige directement sur la piste pour se défouler un peu. Je n’arrête pas de repenser à ce que je viens de vivre, je revois Théo nu devant moi, je revois son anus dilaté, je ressens cette quantité de sperme avalée, mais je suis heureux, je suis heureux, je suis heureux…
La fin soirée se passe divinement bien, et nous dansons tous ensemble, le plus souvent je suis tout près de Théo ; je l’admire, et je le désire encore !

A six heures, nous rentrons, et nous couchons tous les deux en boxer… bizarre, moi qui dors souvent nu… la fatigue sûrement…
Gaétan lui est dans sa chambre, il s’est éclaté toute la nuit à faire des bisous avec Charlène, et nous, toujours rien avec les filles ; demain, enfin, tout à l’heure, je sens que Gaét n’a pas fini de nous chambrer Théo et moi sur ce sujet-là…
Quelle honte, nous sommes toujours puceaux… mais avec les filles seulement !!!

Par Fred - Publié dans : Récits
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Dimanche 28 novembre 7 28 /11 /Nov 20:01

J’ai toujours rêvé de me faire violer par une bande de brutes sur le carrelage d’un WC public.

Ce jour là, j’étais à l’étranger, j’avais besoin de pisser et j’étais curieux de voir de quoi les toilettes publiques avaient l’air dans cette ville. Mais j’avais aussi des idées derrière la tête, parce que j’étais en manque de sexe dans ce pays dont je ne parle pas la langue. Les toilettes étaient assez vastes, toutes carrelées de blanc du sol aux murs, avec des box de chiottes fermés à mi-hauteur et une rangée de pissoirs assez sales.

J’ai soulagé ma vessie, et comme j’étais seul, j’ai commencé à masser ma queue en pensant à mon fantasme de viol, et je me suis mis à bander comme un âne rien que d’y penser. J’ai commencé à me branler plus énergiquement.

C’est à ce moment que deux jeunes loubars balèzes sont entrés dans les toilettes. Ils ont choisi de venir uriner chacun de son côté, à ma droite et à ma gauche. Ca m’a excité grave de savoir que ces deux jeunes mecs me lorgnaient du coin de l’œil en train de me secouer le nœud pendant qu’ils pissaient. J’ai jeté un coup d’œil à leur bite et j’ai vu qu’ils commençaient à bander en finissant de pisser.

Ils se sont lancé un regard complice, et biroute dressée en main, se sont légèrement reculés pour se retrouver derrière moi. Je leur ai jeté un regard affolé, j’allais pas leur dire que je voulais me faire violer! Ils m’ont tiré en arrière, l’un d’eux, un grand blond m’a ceinturé, et m’a levé mon t-shirt jusqu’aux aisselles pendant que l’autre, un noiraud très poilu, défaisait la boucle de ma ceinture et me baissait brutalement le jeans et le boxer sur les chevilles. Je me suis retrouvé à poil dans ce WC, la bite en érection, à la merci des deux lascars qui s’échangeaient dans cette langue que je ne comprenais pas des commentaires dont je sentais bien qu’ils parlaient du sort qu’ils me réservaient.

Le mec de derrière m’a plaqué une main sur les fesses, de l’autre passée entre mes cuisses, il a enserré ma bite à pleine main et l’a tirée vers lui en la pliant à sa base. Celui qui était devant moi s’est assis au sol jambes écartées en m’attirant vers lui, et comme j’avais les chevilles entravées par mon froc, je suis tombé à genoux et sur les coudes, le visage plongé dans les poils de son pubis. Les relents acres de sa bite me sont montés au nez et ont redoublé mon érection. Il a forcé son gland entre mes lèvres et poussé sa grosse biroute bien dure au fonds de ma gorge. J’aimais trop être à moitié étouffé par ce membre qui pulsait dans ma bouche écartelée, mais j’ai poussé un râle indigné comme si j’étais pas consentant. Puis j’ai commencé à sucer cette queue au gout acide, tout enrobée de mon abondante salive.

Le noiraud s’est agenouillé derrière moi, m’écartant les cuisses de ses genoux, et set venu frotter sa bite contre la mienne tordue en arrière entre mes jambes. Il m’a écarté les fesses et j’ai senti qu’il crachait une série de glaires bien gras dans la raie de mon cul, dont il a lubrifié mon trou de balle de son doigt mouillé. J’y croyait pas, je vivais mon fantasme mieux que dans mes rêves! J’étais en train de me faire violer par deux brutes en rût sur le carrelage froid des WC. Le gars de devant me laissait pas respirer, me pressant à deux mains la tête pour que je le suce à la cadence frénétique qu’il m’imposait.

Mais mon attention était toute entière centrée sur mon trou du cul béant, en attente fébrile de l’estocade de l’autre gros pédé. Pour donner le change, je râlait comme un porc en secouant la tête pour signifier que je ne voulais pas me faire enculer, alors que je n’en pouvais plus d’être excité rien qu’à l’idée de ce manche hypertrophié qui allait me forcer le derche.

Ma résistance simulée a eu l’air d’exciter le mec, qui a commencé à m’injurier dans sa langue, et qui m’a enculé sans ménagement, poussant d’un coup son gland jusqu’au fond de mon fion à le faire péter tellement sa bite était énorme. C’était tellement bon, cette sensation d’une matraque qui rentre dans son fourreau, cette impression de plénitude, ce mal qui fais tant de bien! J’ai beuglé en sourdine, la bouche pleine de la pine de l’autre loubard. L’enculeur y est allé à grands coups violents, entrant et sortant de mon cul avec frénésie. J’ai senti que ma bite coulait son précum sur les couilles du mec contre lesquelles elle venait se frotter à chaque enculage, toujours broyée dans sa main crispée.

C’est à ce moment là que je me suis rendu compte que d’autres mecs étaient rentrés dans les toilettes, et passé leur surprise du spectacle qu’ils découvraient, avaient sorti leur paquet et se branlaient en me regardant me faire baiser. C’étaient trois jeunes beurs d’une trentaine d’années tous rudement bien montés.

Mais mon esprit est vite revenu se fixer sur ce que je vivais. Le blond m’a pris par les cheveux et tiré vers le haut de sa poitrine, me sevrant de sa bite pourtant si bonne, que je sentis glisser le long de mon corps, se frotter contre ma bite et mes couilles, et chercher à me pénétrer en même temps que celle du noiraud qui me ramonait avec violence. J’ai poussé un cri de réelle frayeur, mon derche n’allait pas pouvoir accueillir ces deux grosses bites sans être déchiré! Mais le blond a forcé son chemin, distendant au maximum les parois de mon anus et s’est mis à me limer à grands coups de reins ptt8bg7.jpg
de concert avec le noiraud collé à mon dos courbé. J’étais maintenant affalé sur le ventre du blond, ma pine et mes couilles plaquées contre son ventre transpirant.

Un de trois beurs s’est mis à poil du bas et est venu s’agenouiller au dessus de la tête du blond, lui offrant ses couilles à sucer et à moi sa bite à pomper. J’ai happé goulument cette queue basanée et suante qui suintait grave. Elle avait un goût un peu amer qui m’a mis les sens en folie.

Mes deux enculeurs ont pas tardé à décharger leur foutre à plein jet au fond de mon cul, en telle quantité qu’une bonne partie est ressortie et m’a coulé sur les couilles. Dans le même temps, le jeune beur m’a craché sa purée dans la gorge, en rasades puissantes que j’ai avalées avec gourmandise. C’était à une époque ou le Sida n’était heureusement pas encore apparu, aujourd’hui plus question de prendre comme ça directement du jus de couilles dans le cul sans protection.

Ils se sont tous retirés, mais ma fête n’était pas finie, l’orgie ne faisait que de commencer. Les deux autres les ont remplacé tour à tour dans mon derche, me bourrant sans peine avec tout le sperme qui le lubrifiait. Mon cul n’était plus qu’un garage à bites et n’arrivait plus à contenir tout le foutre qui en débordait lorsqu’ils lâchaient leur dose de jus épais.

Il m’ont ensuite fait lécher toutes leurs bites pour les nettoyer et j’ai dû les leur ranger dans leur slip. Les gars se sont rhabillés, m’ont jeté un regard narquois, et sont partis en parlant tous à la fois dans cette langue que je ne comprenais pas. Je me suis relevé la bouche pâteuse de foutre, le corps couvert de sperme séché que je voulais garder sur moi, et j’ai baissé mon t-shirt sans me laver et remonté mon boxer. Mais une fois rhabillé, une grande quantité de sperme a encore coulé de mon trou du cul et atterri dans mon slip qui s’était retrouvé gluant et humide

Par Fred - Publié dans : Récits
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