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  • Fred
  • Branlette, sperme, pipe, histoires et bites à gogo : Le blog de Fred Serty
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  • J'ai 18 ans. Je suis bi. Je suis étudiant en cinéma et je compte faire du porno mon métier. Si certains en voyant ce blog ont envie de faire un film avec moi qu'ils n'hésitent pas à me contacter. Je suis plutot musclé et bien gaulé c'est ce qu

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Dimanche 28 novembre 7 28 /11 /Nov 20:00

Y faut que je te raconte mes débuts de sac à foutre. Ca a commencé quand j'avais 19 ans. J'étais timide, encore vierge du cul, et je suis entré dans un ciné porno. Je savais que la pénombre me conviendrait si je devais faire une rencontre. Il devait y avoir une vingtaine de personnes dans la salle. Je me suis assis dans une des rangées latérales du fond. Sur l'écran, deux gars enculaient un mec qui râlait, leurs deux bites qui lui déchiraient son trou du cul. Ils étaient super bien montés. J'ai défait ma braguette et commencé à me caresser la queue, la main dans le slip.

Au bout d'un moment, un jeune mec s’est affalé dans le fauteuil à côté de moi. Il avait l’air de sortir du bureau, costard cravate, genre jeune loup carnassier. Sans me regarder, il a dézipé son froc. J’ai vu les poils de son pubis surgir, c’était clair qu’il portait pas de slip. Il a sorti sa queue en érection monumentale et a commencé à se branler. Quelques instants après, il m'a dit sur un ton assez autoritaire: «descend ton froc!». On ne m'avait jamais parlé comme ça mais j’ai aimé, et j’ai senti ma queue durcir un peu plus encore. J'ai donc descendu mon jean et me suis retrouvé en slip dans cette salle de cinéma avec des mecs qui me regardaient de leur place. Je dois dire que ma biroute est de belle taille et faisait une protubérance assez suggestive à mon slip. Il m'a lentement caressé la queue à travers le tissu, puis il l'a sortie de son écrin et a commencé à me la masser tout en se masturbant. Je suis un peu exhib, mais avec tous ce mecs autour, j’étais pas à l’aise. J’ai été soulagé quand le gars m'a dit: «remballe ton matos, on va aller chez moi». Ca m’a excité un max de penser à ce qui pourrait des passer chez lui, et je l’ai suivi sans hésitation. En chemin, il ne m’a pas parlé, et pas répondu à mes questions, mais il dégageait une autorité naturelle et je me suis senti comme en son pouvoir. Il habitait pas loin.

En arrivant chez lui, il m'a montré la salle de bain, m’a donné une serviette de bain et m’a dit de prendre une douche pendant qu’il donnait quelques coups de fil. Je me suis prélassé sous la douche, et lavé le cul bien à fond. J’avais bien l’intention qu’il me le déflore ce soir là. Quand je suis sorti de la salle de bain, avec ma serviette autour des reins, il était vautré sur le divan de son salon devant la télé, avec juste un slip en latex noir qui moulait ses attributs. Il bandait à mort. J’ai pu apprécier son torse musclé et ses abdos sans graisse. Un beau spécimen de jeune cadre sportif! Il avait mis une vidéo SM homo. Je me suis étendu près de lui en laissant ma serviette découvrir ma queue dressée. Il a glissé sa main le long de ma cuisse, et m’a caressé les couilles.

Soudain la sonnette a retenti. J’ai bondi du sofa et me suis emballé séré dans ma serviette. Il s’est levé et m'a dit «t’inquiète pas, j'ai juste invité quelques copains pour qu’on s’amuse un peu, on va bien s'occuper de toi». Il a été ouvrir à quatre gars dans son genre, dont un grand black super balèze, qui m’ont déshabillé des yeux d’un air lubrique. J’avais pas prévu un truc comme ça, à plusieurs. Pris de panique, je me suis dirigé vers la salle de bain ou j’avais laissé mes habits, mais un des gars m’a barré le passage avec un sourire en me susurrant : «on veut pas te faire de mal bébé, mais Michel nous a dit que t’était bien monté et que t’avais l’air chaud du cul, alors on veut aussi en profiter et te faire tester nos pines. Viens te mettre à l’aise sur le canapé». Je me suis laissé faire, et c'est à partir de ce moment là que j'ai été un jouet sexuel pour ces cinq vicieux.

 Ils se sont déshabillé rapidement. Quatre portaient un slip de cuir et le black un jock rouge qui n’arrivait pas a contenir sa grosse bite turgescente. Un des mec m’a dit qu’ils allaient avant tout me raser. Je me suis couché sur la table de la salle à manger, et j’ai perdu tous mes poils du pubis, de la queue et des couilles. Mais cela ne leur suffisait pas. Ils m'ont retourné sur le ventre à même la table, les jambes pendantes qu’ils m'ont écartées au maximum pour bien ouvrir mes fesses et dégager mon cul, puis ils me l’ont rasé intégral. J’ai bien aimé le contact de la lame autour de mon trou du cul, avec cette crainte de me faire blesser. Je bandais comme un taureau, la bite comprimée contre le bois de la table. Mais j’en avait pas fini avec les préparatifs. Ils ont voulu me faire un lavement avec une poire et m’ont vidé les intestins.

Sans crier gare, ils m’ont ensuite attaché les mains et les pieds aux quatre pieds de la table avec des rubans de soie. J’étais à leur complète merci, presque écartelé, le cul grand ouvert, la bite et les couilles dépassant du bord de la table contre lequel elles étaient pressées. Avoir le cul ainsi exposé à cinq mecs en rut m’excitait beaucoup, j’avais les burnes comme du béton.

Ils ont voulu tester l'élasticité et l'ouverture de mon trou de cul encore vierge. Un tube de lubrifiant Eros a surgit et un des mec m’en a enduit le fion. C’était un peu pimenté, et ça m’a mis le cul en feu. Un index fouilleur m’a sondé, m’en a graissé l’intérieur aussi profond qu’il pouvait et en est ressorti en un mouvement vissé.

Puis Michel est réapparu dans mon champ de vision avec trois godes de tailles différentes dont un énorme qui faisait au moins 7 cm de diamètre. Ils me les ont enfoncé l’un après l’autre, en douceur et profondeur. Quand le plus gros a commencé à forcer mon cul, j'ai gueulé comme un âne. J’avais l’impression que mon derche allait se déchirer. Mais je me suis relâché, il s’est lentement distendu, et j’ai ressenti une grande plénitude. J’ai pas pu m’empêcher de crier : «bordel à queue, j’aime trop». L'un des gars m'a alors dit: «t’as maintenant le cul d'une vrai salope. Tu va pouvoir te le faire exploser et te faire enculer sans crainte, et tu vas en redemander».

Ils sont venus du coté ou j’avais ma tête et ils ont sorti leurs queues qu’ils ont posées sur la table devant mes yeux affolés. Quels braquemarts! Celle du black devait mesurer plus de 20 cm mais elle était surtout très épaisse. Le grand noir m'a dit: «pas de souci, mon bébé, avec le trou béant que tu as à présent, ma queue va renter comme dans du beurre, tu vas jouir grave, mais y faut d’abord que tu me suce». Et il m’a poussé sa grosse biroute entre les lèvres. J’ai pris son odeur forte et musquée en plein nez, et ça a décuplé mon excitation. Je l’ai sucé goulument, avant que les autres viennent se faire pomper par ma bouche avide qui les aspiraient à tour de rôle et même par deux à la fois. Je n'avais jamais sucé autant de bites, ni senti si fort l’odeur âcre qui se dégageait de leur poils pubiens et de leur bites pas lavées. Elles devenaient énormes et bien raides dans ma bouche et leurs couilles ballottaient sur mon menton. J’étais en transe, les sens affolés.

Pendant que je suçais comme un malade, ma séance d'enculage a commencé. C'était encore l'époque où le sida n'existait pas, un premier gland nu à forcé son chemin dans ma rondelle vierge et s’est enfoncé millimètre par millimètre dans mon fion tendu vers lui. J’attendais cette sensation depuis si longtemps! Ca m’a tellement excité que j’ai largué une giclée de foutre qui a coulé en bas de la table. Les queues se sont succédées dans mon trou. J'étais devenu un véritable garage à bites, un trou ouvert à tous. Les pédés m'ont enculé à tour de rôle, tous plus puissants les uns que les autres. Seul le black attendait son tour en s’attardant à se faire sucer, ce qui n’était pas pour me déplaire. Il m’a dit qu’il voulait que mon derche soit bien ouvert et lubrifié par le sperme de tous ses copains avant de me prendre. Les quatre bites se sont vidées dans mon cul et je crois même qu’unmec y est venu deux fois. Le sperme débordait de mon trou et coulait jusque sur mes burnes.

Le grand balèze noir m’a sevré en retirant sa pine de ma bouche. Il s’est approché de mon fion débordant de foutre, et a écarté davantage encore mes fesses pour faciliter la pénétration de son énorme queue. Il en a profité pour les claquer du plat de la main, et le molosse m'a embroché comme une pute. Je me sentais emmanché à la limite du possible, les parois de mon cul complètement écartelées.

Pendant ce temps, les autres m'ont donné leurs queues à lécher pour les nettoyer. Elle étaient encore dégoulinantes de sperme bien gluant que j’ai bouffé avec délice.

Après m’avoir ramoné et limé pendant un bon moment, mon enculeur s'est retiré de moi brusquement sans avoir joui, et m’a crié qu’il voulait me cracher son jus dans la bouche. J’ai ouvert la bouche aussi grand que je pouvais, et sa biroute est entrée toute entière jusqu’au fond de ma gorge. J'en avais presque le souffle coupé. Après quelques va et viens impatients, il s'est raidi et immobilisé quelques secondes avant de vider ses couilles à gros bouillons. Trois grosses giclées de ce jus de couilles tout chaud et épais ont envahi ma gorge, que j’ai avalé en hoquetant.

Ils m’ont abandonné pantelant, attaché sur la table, pendant qu’il allait se doucher tous ensemble, se sont rhabillés, et sont venus me libérer. J’étais à poil, la bouche pâteuse, la figure, les fesses et la queue maculés de foutre séché, au milieu de ces cinq jeunes mecs en costard, qui me regardaient comme si j’étais leur jouet, et j’ai vraiment aimé ça.

Comme j’avais pris goût à être soumis à cette bande d’enculeurs, depuis ce jour-là j’ai remis ça souvent, avec des copains ou des inconnus, mais jamais avec violence. J’ai même une fois été mis à poils dans un WC public par trois mecs qui m’ont sodomisé à même le carrelage, sous l’œil de deux autres qui  sont arrivés par hasard. Mais aujourd'hui plus question de sperme dans la bouche ni dans le cul malheureusement, le préservatif est de rigueur, sida oblige. Dommage!

Par Fred - Publié dans : Récits
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Dimanche 28 novembre 7 28 /11 /Nov 19:58

L’été dernier, je devais partir en vacances avec un ami. Nous avions repéré un coin sympa du côté de Bordeaux, et trouvé une chambre d’hôte libre dans une ferme. Ça nous semblait idéal : nous pourrions sortir en ville puis dormir au calme, loin du bruit. Mais au dernier moment, mon ami m’appelle : il ne pourra pas venir, il est coincé à Paris pour des histoires de famille. Déçu, je décide de partir quand même ; après tout, je ferai sûrement des rencontres sympas, et je ne passerai certainement pas ces deux semaines tout seul !

Je prends donc le train, arrivé à Bordeaux je me renseigne pour savoir si des cars desservent le village où se trouve la ferme. J’apprends alors que c’est à peine un village, que la ferme est très isolée, et qu’elle est beaucoup plus loin de Bordeaux que ce que je pensais ! Heureusement, je trouve un taxi pour m’y emmener, mais j’imagine déjà les galères pour sortir le soir : c’est mon ami qui devait venir avec sa voiture ; seul je suis beaucoup moins libre de mes déplacements.

Après une heure de route, le taxi me dépose à la ferme. C’est vrai qu’elle est très isolée, mais il s’en dégage un charme fou. C’est une veille bâtisse entourée de champs, avec des vaches, des canards, une rivière, plusieurs dépendances… Une ferme très ferme, en somme. Le taxi s’éloigne, je rentre dans la cour avec mes valises, appelle : « Il y a quelqu’un ? »
Silence. Je pousse la porte de ce qui semble être la maison principale, et pénètre dans un salon à l’ancienne, assez poussiéreux. Je laisse là mes bagages et ressors faire le tour de la maison. À l’arrière se dresse une sorte de remise dont la porte est ouverte. Des bruits en sortent. Je passe la tête. Un homme d’une petite quarantaine d’années, peut-être 35, est là, à donner des coups de marteau sur un grand morceau de tôle. Il est torse nu, en jean, luisant de sueur ; il ne fait pas attention à moi. J’en profite pour admirer son corps musclé et viril, ton torse couvert d’une légère toison pas trop épaisse et bien répartie.

À côté de lui, je me sens nettement moins masculin, avec mon corps mince et ma peau imberbe. Je m’approche un peu, il me remarque enfin, et, laissant son marteau en l’air :
- « Qu’est-ce que vous voulez ?
- Bonjour ! Je m’appelle Pierre, j’ai réservé une chambre chez vous sur Internet… Nous devions être deux, mais je suis seul finalement…
- Une chambre ? Je n’ai pas de chambre à louer ici. Vous devez vous tromper. »
Je sors alors mes papiers de réservation et les lui montre. Il les considère un instant, puis :
- « C’est pas ici. La ferme s’appelle pareil, mais celle que vous cherchez est au nord de Bordeaux. Vous êtes descendu côté Sud là.
- Mais… Mon taxi est parti, comment je vais retourner là-bas ? Il est 8 heures sur soir, le temps d’en faire venir un autre, de rejoindre Bordeaux puis d’aller jusqu’à l’autre ferme, il sera presque minuit !
- Ah, vous n’avez pas de voiture ? Bon, pour cette nuit je peux vous trouver une chambre ici, mais ne vous attendez pas à du tout confort. Vous repartirez demain matin.
- Merci beaucoup ! C’est très gentil de votre part ! »
Sans rien dire de plus, il m’accompagne jusqu’à sa maison. Il a l’air de tiquer un peu en voyant mes deux grosses valises, mais en prend une en main puis me précède dans l’escalier. Arrivé au premier étage, il ouvre la porte d’une petite chambre.
- « Voilà, c’est là. Il y a une salle de bain derrière la porte à côté, à droite. Si vous voulez prendre une douche… Je dois retourner travailler. Vous avez dîné ?
- Non. Si vous avez de quoi faire, je peux m’en occuper tout seul, ne vous inquiétez pas. Vous me direz combien je vous dois.
- Je dîne à 21 heures. Vous n’avez qu’à dîner avec moi. Je vous retrouve dans la cuisine tout à l’heure.
- Entendu ! Encore merci ! »
Il referme la porte. Il est gentil, mais il n’a pas souri une seule fois, et malgré sa proposition je sens bien qu’il n’est pas enchanté de m’avoir ici. Mais bon, c’est juste pour nuit…. Je sors d’une valise ma serviette et ma trousse de toilette, puis file sous la douche. À 21 heures, je suis lavé, changé, et je descends à la cuisine.

Il avait mis deux couverts sur une table en bois, et préparé une omelette de pommes de terre. Je n’osais pas trop lui parler, parce que lui-même restait silencieux. Pour détendre un peu l’atmosphère, je lui tendis une bouteille de vin que j’avais apportée pour mes hôtes (tant pis, je leur en achèterai une autre !). Il a enfin eu un sourire, a grommelé un « merci », et l’a ouverte. Nous nous sommes mis à table, je lui ai posé des questions sur sa ferme, son métier… Il s’appelle Martin, m’a expliqué qu’il avait acheté cette ferme avec sa femme, il y a 10 ans, mais qu’il y travaillait presque seul depuis leur divorce. Il engageait des aides quelques fois pendant les périodes où il y avait beaucoup de travail, et le copain de sa fille venait également lui donner un coup de main de temps en temps pendant les vacances. Je lui ai également un peu parlé de moi, mais sans lui dire clairement que j’étais gay.

Je lui explique que j'ai 24 ans, que je suis étudiant, que je voulais passer des vacances sympa avec mon pote, et que là je flippe un peu de passer deux semaines dans une ferme isolée, si l’autre l’est autant que celle-ci. Ça fait rire mon fermier, qui me confirme que l’autre ferme est loin de tout ! Devant ma tête dépitée, il me ressert un peu de vin. Nous parlons chacun plus facilement, il sourit et rit de plus en plus, et je me raconte plus, laissant sous-entendre que j’aime les mecs mais sans le dire explicitement. Vers minuit, nous décidons d’aller nous coucher.

Le lendemain, je me réveille aux alentours de 9 heures. Ouvrant la fenêtre, je le vois qui s’active à côté d’une étable, toujours torse nu. Je vais dans la salle de bain prendre une douche, sous laquelle je reste une bonne vingtaine de minutes, jusqu’à… ce qu’il n’y ait plus d’eau chaude. Quand je sens un jet d’eau froide sur ma peau, je pousse un cri et me rue hors de la douche. Martin ne tarde pas à frapper à la porte : « Quelque chose ne va pas ? ». J’enfile ma serviette autour de ma taille et lui ouvre : « Il n’y a plus d’eau chaude apparemment. J’ai été surpris par le froid. ». Martin s’est mis à rire, a ouvert l’eau.
- « Tu as vidé le ballon. Il faudra attendre un peu avant d’avoir à nouveau de l’eau chaude.
- J’ai vidé le ballon ? Je suis désolé, je ne voulais pas…
- C’est pas grave, ça reviendra vite. Mais t’as dû rester longtemps sous la douche, parce qu’il y a un sacré réservoir quand même…
- Je ne sais pas, peut-être vingt minutes…
- Vingt minutes de jet ? Pas étonnant que tu l’ai vidé. »

Sur cette dernière phrase, Martin m’a fait un clin d’œil. Il y avait évidemment une allusion très lourde, et je me suis senti très gêné. J’ai dû rougir, parce qu’il a ajouté :
- « Excuse-moi, c’était pas très fin. J’ai cru comprendre que tu étais gay, j’ai juste voulu faire un peu d’humour. Je voulais pas te mettre mal à l’aise.
- Non, pas de souci. Je vais m’habiller, et puis je dois partir après si je veux arriver tôt à l’autre ferme.
- Ah, oui… J’avais oublié. À plus tard alors. »
Il est sorti, et je me suis rapidement habillé, avant de descendre. Martin était dans le salon.
- « Tu sais, si tu as envie tu peux rester. Ça me fait de la compagnie, et on a bien discuté hier soir.
- Je ne voudrais pas vous déranger. Vous avez du travail.
- Tu ne me déranges pas dans mon travail, mais je n’ai pas l’habitude de recevoir, alors peut-être que tu préfères le confort d’une vraie chambre d’hôte.
- Non, je suis bien ici. De toute façon, l’autre ferme est aussi isolée. Mais je dois vous dédommager pour tout ça.
- On verra ça plus tard. Ça me fait plaisir que tu restes ! Je dois me remettre au travail pour le moment. »

Martin est ressorti, et j’en ai profité pour faire un tour dans les champs. Les jours suivants, nous avons encore bien discuté, je lui en ai dit un peu plus long sur moi, sur le fait que j’aimais les mecs ; il était très ouvert là-dessus. Je lui ai raconté que j’aurais bien été un peu plus en ville, y faire des rencontres, mais que finalement ces quelques jours de repos total étaient agréables. Il faut dire que je dormais comme une masse ici, et le bruit de son travail le matin ne me réveillait même pas ! Il s’est également confié de façon plus intime, disant que cette solitude était dure à gérer, que ma présence lui faisait du bien.

Un soir, je sortais de la salle de bain, ma serviette glissée autour de la taille, quand j’ai croisé Martin qui s’y rendait. Il ne portait qu’une serviette également, et le couloir étant étroit, nous avons dû nous serrer pour passer. J’ai senti la forme de sa bite contre mes hanches. Il ne bandait pas, mais la taille semblait conséquente ! J’ai été troublé, j’ai trébuché, et en tombant j’ai fait glisser sa serviette. Il s’est retrouvé à poil devant moi. J’étais terriblement gêné, mais je n’ai pas pu m’empêcher de mater sa bite, très belle, et ses couilles, lourdes. Il a souri, puis est rentré dans la salle de bain. Je me suis couché en fantasmant sur sa queue.
Le lendemain matin, en me réveillant, j’ai senti quelque chose de poisseux sur mon visage. J’ai voulu m’essuyer. L’odeur et la consistance étaient celles du sperme, froid et à moitié séché. J’ai pensé que j’avais dû me branler pendant la nuit, et gicler si fort que ç’avait atteint mon visage, sans que je m’en souvienne.

La journée s’est passée normalement, Martin était assez absent. Le lendemain matin, à nouveau, mon visage était couvert de sperme. Je me suis demandé s’il était venu se branler au-dessus de mon lit pendant la nuit, mais l’idée était vraiment incroyable !
En me couchant la nuit suivante, j’étais bien décidé à ne pas dormir. Et, en effet, en plein milieu de la nuit, la porte s’est ouverte sur Martin. Il s’est approché, je n’ai pas bougé, faisant semblant de dormir. Je l’ai entendu baisser son caleçon, sortir sa bite et se masturber à quelques centimètres de ma bouche. Je n’osais rien faire, mais j’étais terriblement tenté de le sucer ! J’ai alors commencé à pousser quelques gémissements, comme si je faisais un rêve érotique, j’ai entrouvert ma bouche, j’ai même été jusqu’à murmurer « Martin, c’est bon… Vas-y… Encore… Martin… ». Il ne lui a pas fallu longtemps pour décharger et m’envoyer une bonne dose de sperme sur la gueule, une partie coulant même entre mes lèvres entrouvertes. Il est parti rapidement.

J’étais maintenant certain que Martin était attiré par moi. J’ai alors décidé de tout faire pour qu’il ait envie d’aller plus loin, et je ne me suis pas gêné la journée suivante pour sortir de ma douche entièrement nu, pour m’allonger au soleil de façon provocante juste à côté de lui dans le jardin, et pour lui lancer des allusions. D’autant plus qu’il m’avait forcément entendu dire son nom pendant qu’il se branlait !

En me couchant ce soir-là, je suis resté à poil et j’ai défait mes draps pour être entièrement découvert. Quand la porte s’est ouverte et que Martin est entré, j’étais allongé sur le ventre, le cul cambré, le visage tourné vers lui, les yeux fermés évidemment. Comme la nuit précédente, il s’est caressé juste au-dessus de mon visage. J’ai senti sa main gauche sur mes reins, puis sur mes fesses, j’ai légèrement écarté les cuisses, et ai repris mes murmures de plaisirs et mes « Martin… Oui… Encore… ». Il a alors été jusqu’à enfoncer un doigt entre mes fesses, puis deux, je sentais son gland qui approchait de mes lèvres, j’ai doucement sorti ma langue et il s’est branlé dessus, tout en me doigtant avec deux, puis trois doigts, il a légèrement enfoncé sa bite dans ma bouche et a soudain joui, me remplissant la bouche de son jus.

Il est parti le plus silencieusement possible.

Par Fred - Publié dans : Récits
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Dimanche 28 novembre 7 28 /11 /Nov 19:49

En fin de soirée d'une fête, la personne chez qui j'étais invité, m'avait amené dans une ancienne maison situé sur les hauteurs de la ville bien retirée, trés calme afin de me reposer calmement pour que je puisse faire face au long voyage du lendemain. Au pas de la porte un jeune nous ouvrit Omar il s'appelait, son beau frère .


- Voila c'est la campagne ici, je te laisse avec Omar, il est seul car toute la famille est chez nous à la fête, je te verrais demain vers 10h 30 - bonne nuit me lança t il.
Le jeune brun agé de 24 ans trés beau me dirigea vers la chambre avec un beau sourire, il y avait 2 canapés et un matelas sur un grand tapis.
Il me remis un short et m'invita de prendre une douche, je le suivais jusqu'a la salle d'eau sans porte ni rideau, je profitais qu'il avait le dos tourné, je me suis deshabillai et me glissai sous l'eau.
Un petit moment après, Omar etait immobile debout derriere moi, une petite glace en face de moi me servait de retroviseur, il avait les yeux fixés sur mon derriere bombé, je faisais semblant de l'ignoré , mon coeur battait trés fort, tout en caressant entre mes fesses et souvent je me rabaissé comme pour lavé mes pieds afin de lui montrer mon anus épilé , mon coeur battait trés fort, il était encore là à scanner tout ce qui lui plaisait.
Plus tard dans la chambre, Omar sortant de la douche lui aussi se dirigea vers le canapé en face de moi , je le voyai parfaitement grace à la lueur clair de la lune traversant les vasistas, il était trés beau sportif il avait enlevé son tee shirt et son survête il avait gardé que son slip avec une enorme bosse devant ...je faisais semblant de dormir.....
il s'étirait comme s'il était fatigué, puis ses mains se posaient sur sa bosse, il se caressa un moment puis plongea sa main dans son slip comme pour remettre en ordre certaines choses . Doucement je baissai legerement mon drap au bas de mes fesses , je soulevais légèrement mon bassin ,il y avait un silence terrible, j'avais envie je ne l'avais jamais fait et pourtant je sentais mon anus qui me demangé, il se contractait, il s'humidifiait dans l'attente d'une quelque chose. Mon bas-ventre me faisait mal, ma repiration s'entrecoupait, mon sexe était en érection totale, il se passait en moi des choses etranges ... Une envie folle de toucher ce jeunot...

Je gardais mon visage plongé dans mes bras repliés. Je le guettais cet ange, je commençais à avoir encore plus chaud quand le jeune homme venait d'enlever son slip pour se branler librement en fixant mon derriere , mon regard fut attiré par son sexe plaqué jusqu’au nombril. Il m’a semblé gigantesque, incroyablement nervuré de grosses veines gonflées, prêtes à exploser. je relevais encore un peu plus mon bassin et toujours en balançant mes hanches comme pour ouvrir naturellement mon anus et le lui offrir, l'inconnu me rejoignit à quatres pattes lentement comme un vrai felin.
J'ai senti une décharge électrique provenant de je ne sais où, je ferme les yeux pour une seconde, j'ai senti un plaisir, je ne dis rien. Je sentais ses doigts s'insinuer dans ma raie, se dirigeant doucement vers mon trou vierge, le contournant , une sacré caresse. Je le laissai faire en fermant les yeux. Il remonte ses doigts, continue vers mon anus, ses doigts deviennent de plus en plus doux.
j'avais toujours mon bassin relevé. Un formidable choc émotionnel pour moi qui découvrait une réalité insoupçonnée. Omar voulut se réajuster, mais ma main l’en empêchât, je n'en pouvais plus, en saisissant son sexe qui frémit sous l’étreinte. C’était chaud, dur comme du bois mais incroyablement velouté. Mes doigts, que je ne pouvais pas refermer, formaient au mieux de mes pressions un « C », qui parcourait le membre de haut en bas. J’étais hypnotisé par le côté irréel de ce que je voyais, de ce que je touchais, palpais, soupesais, pressais…un vrai bras , un tronc velouté. Après quelques caresses et avoir échangé de trés tendres baisers, il s'allongea sur le dos, je montais sur lui en califourchon lui offrant mon anus devant ses yeux ,tout près je le sentais ce sexe, tout prés de mes lèvres entrouvertes , ma respiration s'accentue, je caressais du bout de ma langue toute sa longueur, ma bouche ouverte, je faisais plusieurs fois le tour du gland lui donnant de legers coups de dents du haut en bas, je le prenai comme pour esseyer de l'avaler, sa premiere moitié etait au fond de ma gorge, je sentais soudain sa langue dans la raie de mes fesses, Il me caressa ce qui eut le don de me faire frissonner. je lachai ma proie pour aller coller mes levres sur les siennes trés chaudes et douces, nus tout les deux entrelacés, jouant et circulant nos langues pendant un moment.
Comme un eclair, il a été chercher du gel , il m'a lubrifié l'anus comme pour s'amuser, je me suis mis sur lui en califourchon encore une fois ouvert à lui, mes lèvres collés aux siennes , j'avais une trés forte envie. Son autre main était partie en exploration sous mes fesses. Il titilla doucement mon trou avant d'enfoncer un doigts et plus deux dans l'anus chaud humidifié. Je le laissais faire. Mieux, je soulevais mon bassin pour qu'il puisse me pénétrer le plus loin possible. Je me contractais pour mieux l'enserrer en moi. C'était nouveau et surtout très excitant. Les caresses me procuraient un plaisir fou et indéniable , je découvrais que j'étais sensible des fesses, . Il me glissa deux et trois doigts dans le cul, et doucement me demanda s'il pouvait me prendre , et je ne sais pas pourquoi je lui ai dit "oouuii mais doucement" car pour moi c'est la premiere fois. Je me remis à quatres pattes ,
Secrètement j’avais l’angoisse de ce qui allait arriver. Comment, mais comment j'allais pouvoir m'offrir à lui ? Lentement, avec beaucoup de douceur, il entreprit de me dilater encore une fois avec un, puis deux doigts qu’il maniait avec douceur pour détendre le pourtour de mon anus tout neuf, pas du tout programmé pour avaler un zeb pareil.
Il me demanda de m’écarter le plus possible et de me cambrer au plus que je pouvais. J’étais fébrile, de désir et d’angoisse. Il promena son gland énorme de haut en bas de ma raie, en s’attardant sur mon anus. Je perdais tout contrôle en sentant pousser délicatement son sexe sur mon trou. Je poussai moi aussi...L'homme comprit le message, sachant que je poussai pour recevoir ce beau sexe. Empoignant sa queue, il darda son gland vers mon petit trou.Le désir de le recevoir avait aussi fait son œuvre et j’étais détendu. Il poussa un peu plus fort qu’à l’ordinaire et le gland ouvrit un peu le chemin. Mais pas sans douleur. Etrange sensation qui mêle jouissance et douleur. Mes gémissements le guidaient dans ses efforts. Il maintenait la pression de la hampe, et de ses mains il écartait sans relâche mes fesses, à droite, puis à gauche, en tirant sur le bord des lèvres qui enserraient le gland.Son gland s'enfonça doucement. Je contrôlais la pénétration. j'ai eu trés mal. J'arrêtais la progression pour reprendre ma respiration. Je contractais le conduit anal en rythme pour mieux le détendre.
De ses hanches, il impulsait à son sexe des mouvements latéraux qui participaient également à l’intromission. Sans brusquerie aucune, mon anneau cédait millimètre par millimètre à la manière dont le boa avale des proies énormes.
Le gland progressa, il passa l'obstacle de l'orifice etroit, le sexe libéré, se projeta d'un coup au plus profond de moi. 
Pour la première fois, j'avais un sexe d'homme dans mon cul, je respirais trés fort, La pénétration était profonde, puissante. Je râlais de plaisir. Sa queue était longue et épaisse. Le gland introduit, le reste bien lubrifié glissa moins douloureusement. Je me sentais plein de lui. Totalement rempli par cette chair turgescente qui commençait à remuer au plus profond de moi, éveillant une sensation inconnue de jouissance-douloureuse. Je me sentais plein totalement rempli par cette chair chaude qui commençait à remuer au plus profond de moi, éveillant une sensation inconnue de jouissance, il s'arrêta quelques instant le temps de m'habituer puis doucement continua sa poussée. Je sentais sa hampe disparaître petit à petit dans mon trou. Il commença à me limer pour une bonne quinzaine de minutes la douleur s'est dissipé se transforma en une extase indéfinissable il accelera son longt va et vient en enfonçant bien au fond , je sentais le morceau qui glissais en moi avec des coups de lime lentes il accelera encore une fois .Omar devait être lui aussi au bord de l’explosion , il gemissait ,je m'ouvrais totalement en poussant derriere pour recevoir le membre completement, Il m'amena à l'ultime jouissance. Tout mon corps tressauta, tellement c'était puissant, il cracha son sperme chaud dans mes entrailles, pendant que moi-même j'éjaculais. Vous me croirez ou pas, mais je jure avoir parfaitement senti dans le même temps deux jets chauds successifs de sperme crachés avec force.
Il est resté dans mes entrailles pendant une quinzaine de minutes jusqu'à ce que son sexe s'était ramolli. Nous sommes retombés l’un contre l’autre. Son sexe a débandé lentement, lui encore en moi. Quand il se dégagea, le sperme coula de mon trou ouvert, portant encore la forme de la queue de Omar .
J’ai gardé durant une semaine la délicieuse sensation de ma dilatation, réveillée par chaque contraction volontair

Par Fred - Publié dans : Récits
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Dimanche 28 novembre 7 28 /11 /Nov 19:27

Salut, je m'appelle Philippe et j'ai 24 ans. Depuis deux ans, je vis une histoire partagée entre ma copine Françoise et mon copain Sylvain peu banale. Je suis partagé entre eux deux et n'arrive pas à savoir pour qui mon coeur balance.Cela fait cinq ans que je suis avec Françoise, et tout se passe bien pourtant entre nous deux.

Mon copain Sylvain est un ami d'enfance et je ne pensais pas en tomber amoureux. Mais voilà,
le temps passant, et avec plusieurs expériences avec quelques nanas, je voulais un jour
essayer avec un mec et je n'osais en parler à personne.Françoise est passée par là, tout roulait bien au début. Et puis, un jour, je lui en parle, avec des mots. Elle ne se mit pas à rire et ne se moquait pas, comprenant ma demande et mes souhaits. Elle même reconnut qu'elle voulait un jour avoir une aventure avec deux mecs. Et me
demanda si j'avais quelqu'un en vue pour m'initier. C'est vrai qu'à cette époque, il y a deux ans
et demi lorsqu'on a eu cette discussion, je commençais de plus en plus à voir Sylvain
autrement que comme mon meilleur ami. Et je me disais que j'aurais bien voulu me laisser
tenter par lui. Françoise me fit remarque que, peut-être aussi, Sylvain voudrait bien aussi avec
moi. Elle ne dit pas plus et notre conversation s'arrêta là .... pour quelques semaines.Et durant ces semaines, Sylvain, toujours en célibataire endurci que je connaissais, venait
nous voir de plus en plus souvent, ce qui ne me déplaisait pas il est vrai. Un soir, Françoise
m'annonça de but en blanc qu'elle avait parlé avec mon meilleur ami et qu'il lui avait avoué
n'avoir jamais osé déclarer ses sentiments pour moi. Je ne savais plus où me mettre. Françoise
me dit alors qu'elle ne lui avait pas révélé mes désirs et qu'elle avait préparé une soirée pour
nous deux seuls, en espérant que nous puissions nous découvrir ....Deux jours après, un vendredi soir, elle partit pour le week end en famille seule, prétextant un
motif dont je ne me souviens plus et je suis parti avec Sylvain assister à un match de foot. On
était heureux de se sortir tous les deux seuls, et après le match, nous avons avec d'autres
potes été boire en ville pour fêter la victoire de notre équipe locale.Nous sommes rentrés chez moi, avec une bonne dose d'alcool, mais trop joyeux d'être
ensemble. On s'est retrouvés dans ma chambre, et on s'est déshabillés rapidement. L'alcool
faisant son effet, notre libido s'est enclenchée et on s'est pris au jeu. On se retrouva nu, et on
se jeta l'un contre l'autre pour s'embrasser passionnément, se caresser et se frotter l'un
contre l'autre.J'entraînais Sylvain sur le lit, l'embrassais encore et encore. Nos sexes se frottèrent l'un contre
l'autre. Il me caressa et me retourna sur mon dos pour prendre les choses en main. Il se frotta
contre moi encore un instant avant de descendre doucement sa tête sur mon sexe et se mit à
me sucer. C'était trop bon de le sentir faire et je gémis de plaisir, découvrant les plaisirs entre
hommes tant désirés.Il me caressa mes couilles, me faisant gémir de plus en plus, et en s'arrêtant de me sucer au
moment ou je sentais venir en lui. Je n'en pouvais plus. je passais mes mains sur sa tête et je
me mis alors à le ramoner et jouis rapidement dans sa bouche. Il remonta pour m'embrasser et
je le sentis se frotter sur moi tout en m'embrassant. Il me baisait comme si j'étais une femme.
J'écartais mes jambes pour mieux le sentir sur moi et je sentis qu'il jouit sur moi. On se
regarda, et nous nous mîmes à rigoler un instant de notre exploit avant de nous embrasser de
nouveau.On se mit à rebander rapidement. Il me regarda tendrement, me fit lever légèrement les
jambes et me caressa mes fesses avant de pointer son sexe contre mon trou. Lentement, il me
pénétra, m'embrassa tendrement et entra en moi en me faisant légèrement crier. Il prit son
temps avec moi, il voulait me faire prendre mon plaisir. je m'habituai à son sexe, et lentement,
Sylvain reprit son va et vient en moi. C'était bon, trop bon. Je gémis de plaisir, lui demandant
d'aller de plus en plus vite, et il gémit à son tour, se sentant bien en moi.Pendant vingt bonnes minutes, il me fit l'amour avant de jouir en moi. On était heureux d'avoir
enfin osé passer ce pas. Je le vis pourtant vouloir autre chose, alors que je me sentait comblé
par lui. Je vis Sylvain se lever, et s'asseoir sur mon bas ventre. De sa main droite, il réussit à
attraper mon sexe encore dur pour le faire rentrer entre ses fesses. Je compris qu'il voulait que
je le sodomise à son tour. Je luis fit cet honneur là et je le vis heureux de voir que j'étais en lui
à mon tour. Je l'entendis gémir comme jamais Françoise ne l'avait fait avec moi. Et je pris un
pied énorme de le sodomiser.J'eus à peine le temps de jouir en lui qu'il s'écroula à côté de moi, et nous nous
embrassâmes en nous avouant notre amour. On s'endormit bras dans les bras, rassasiés par 
cet instant magique et libérateur......

Par Fred - Publié dans : Récits
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